Céline,
Merci de votre contribution, un peu courte et laissant sur sa faim.
Oui, vous avez raison en votre première phase : la critique de la sociologie de salon gouvernemental ou de pré-strapontin de secrétaire d’Etat ( inverse de celle de bazar)n’est pas assez développée dans cet article dont ce n’était pas l’objectif, mais cela ne retire rien à la pertinence du propos que vous avez donné.
La sociologie actuelle est dans un tel état de délitement du fait de la proximité de ses représentants avec les cercles de pouvoir que la critiquer plus serait juste faire un constat de mort cérébrale par extinctin de la pensée libre et indépendante, assortie d’un arrêt de mort de la recherche sur le terrain.
Pour le reste, j’aurais aimé que vous souteniez plus votre critique -qui pouvait être très passionnante- avec des arguments étayés, plutôt que de vous contenter d’un survol rapide et d’un commentaire ensuite sans intérêt pour le débat proposé.
En résumé, à mon humble sens, vous étiez bien partie pour rédiger une contribution féconde, mais vous vous êtes arrêtée là où cela devenait intéressant et pouvait enrichir le débat citoyen.
Dommage donc de ne pas avoir lu plus de vos pensées, fussent-elle légitimement critiques, sachant que la critique est à mes yeux la bienvenue et la meilleure des formes de développement de la réflexion collective autant qu’individuelle.
Bien cordialement vôtre,