Céline,
N’ayant pas d’ego à défendre ou de dogme à justifier, ce débat et ce fil sont pour moi plus un pouls social que l’on prend afin de mieux comprendre ses concitoyens qu’un problème relatif au concept du plaire, complaire ou déplaire.
Vous avez donc toute latitude pour critiquer en toute sérénité, appréciant toujours que des personnes honnêtes et cultivées, et surtout sans haine douteuse, ni rancoeur rancie, s’expriment sans détour sur cet article.
Mon seul questionnement, bien respectueux, était de situer le débat, qui, ici, ne se veut pas « sociologique », encore que des sociologues chercheurs du secteur académique soient, ici ou là, excellents, mais, comme je le disais, coupés de leur terrain de travail par la nature même de leur formation et de leurs outils actuels dépassés d’analyse.
Je ne prétends pas avoir, en un humble petit article visant à générer une réflexion collective sur ce qu’est au fond la « majorité » qui a un jour de mai 2007 élu un candidat donné, répondu à toute la problématique.
Cela serait fat, présomptueux et stérile.
Je n’ai pas la vérité révélée, ni la science infuse, mais il me semble que votre contribution en disait trop peu ou trop, selon le point de vue de l’examen qu’on en fait.
Expliquer un jugement porté, comme c’est ici le cas (chose très naturelle et légitime) est une excellente méthode, entre citoyens, comme pour les Juges qui doivent motiver sérieusement leurs décisons et sanctions.
C’est cela qui manque ici pour appréhender votre position et la comprendre, donc corriger les manques, erreurs et imperfections, en un mot, pour m’enrichir vraiment de vos critiques utiles.
Bien cordialement vôtre,