Cher lecteur,
L’article que vous avez lu n’est pas une réponse dogmatique qu’un esprit supposé supérieur apporterait aux problèmes exposés, mais un appel à un débat sur un fait : la majorité ayant élu Nicolas sarkozy n’est ni homogène socialement, ni politiquement.
Donc, la question qui se pose est : comment gouverner avec une population qui est ainsi volatile et divisée, sur toute question, petite ou grande ?
J’ai ainsi posé, dans ce contexte, des questions sur des mesures qui paraissent de nature, pour tout individu sensé, à continuer de détricoter, comme on dit, le tissu social français : fermeture de postes dans l’enseignement et les hôpitaux, les prisons et les transports, c’est à dire dans les secteurs les plus mal dotés à ce jour, ayant grande difficulté à répondre aux besoins des citoyens.
J’ai aussi mis en avant- enfin, il me semble que là aussi tout être sensé serait d’accord- que lorsqu’un Etat affaiblit ses moyens, il désorganise la société dont il a la charge, se réduit aussi en tant que tel et finalement dessert les nécessités du développement ultérieur du pays en tous domaines.
L’histoire de France et du monde atteste ce fait : après 1945, la France a repris sa place dans le monde avec un secteur public fort qui aidait avec efficience l’expansion du pays.
Si, maintenant, vous jugez que les écoles, les collèges, les lycées, les Universités, les prisons, les hôpitaux vont bien, qu’ils ont trop de personnel et qu’ils peuvent assurer ainsi leurs missions efficacement au service des citoyens, c’est votre libre droit.
Selon les normes ONU et OMS, la France recule sur ces plans.
Mais, bien sûr, l’ONU et l’OMS sont composées de gens non-qualifiés et partiaux, qui poussent la France à se relever dans les domaines de l’instruction publique, de la santé publique, des transports publics et de la recherche publique ainsi que des droits des citoyens emprisonnés (êtres humains et citoyens aussi).
Je comprends que cela ennuie, mais pourquoi faudrait-il le taire ? Et au nom de quoi ?
Bien cordialement vôtre,