@ L’auteur
Contre la tentation de la barbarie ?
Un titre qui en dit long sur votre approche de l’humain.
Je tiens à souligner que sous votre soleil tout n’est pas aussi simple que cela et que si certains d’entre nous sont aux prises de tentations destructrices, vous devriez remettre en cause la société qui est en grande partie responsable. Si il y a autant de désoeuvré, c’est surement que le mode de fonctionnement dans l’espace publique n’est plus approprié à une certaine population.
Nous savons tous qu’une partie de la population est à risque et ils sont plus ou moins en proie à céder à leurs pulsions que d’autres. En cela c’est regrettable mais l’échec est collectif, à savoir l’éducation que donne les parents à leurs enfants et les coups que la société donne et qui se répercute comme une cellule cancérigène. Et oui, la réalité est que la misère et le désespoir est le meilleur terreau pour observer la quintescence de la cruauté humaine.
Je pense que chaques personnes que vous rencontrez est à la fois le miroir de ce que la vie lui a donné, c’est à dire que si c’est une personne étant victime de cruauté, il se peut que lui aussi est et a en soit cette cruauté et vice et versa (cela dépend de sa capacité de résilience).
Donc, ce qui veulent la mort de ces personnes ne sont pas mieux, car n’est ce pas satisfaire ses pulsions lorsque l’on désir la mort d’autrui ? Vous me direz qu’ils ne sont pas classable dans le genre humain, malheureusement ils le sont. A vous de ne pas vous enfoncer davantage dans la facilité et d’essayer de surmonter ces injustices, mais bon il faut une bonne capacité de résilience.
erdal