Bonjour Docdory,
J’admets que ces emprunts balourds à la langue anglaise m’agacent mais l’intention de ces « emprunteurs » est sans doute d’amuser l’auditoire tout en faisant « in »...
Je suis encore plus agacé par ces emprunts qui avancent masqués, où le mot qu’on croit français est en fait par exemple anglais (je n’ai pas d’exemple en tête rapidement comme cela) ou de faux emprunts comme le mot « challenge » prononcé parfois « à l’anglaise »...
ce qui me fait le plus mal, sont peut être encore les traductions litérales ou presque de l’anglais souvent :
« pas de soucis », « ça va le faire » expressions qui n’ont cours que depuis très peu de temps avec le succès que l’on sait sans aucun scrupule ni aucune créativité...
On pourrait bien sûr déplorer les erreurs de transposition comme « shampooing » (shampoo en anglais et peut être hindi), parking (car park en Anglais)... L’importation sauvage ne date pas d’aujord’hui...
Et puis l’éternel « sweatshirt » prononcé « switcheurt » au lieu de « swetcheurt » !!
après tout la francisation qu’est ce que c’est ?
Lors des championats d’athlétisme, cet été au japon, Sebastian Coe a dit au reporter qu’il reviendrait dans son studio quand il veut car il était « cool ». Le reporter contredit par Diagana insistait que c’est parceque l’équipe était « cool » et non parceque le studio était « frais » que Coe voulait revenir...
Marc P