Philippe..Je me doute bien que que la révolution industrielle de l’Europe du XIX eme n’a pas grand chose en commun avec la situation actuelle de la Chine. « Les apparences » que donne le régime ne troublent personnes, pas meme les chinois qui ont un rapport a l’autorité ou a l’administration qui n’est pas le notre. Ce ne sont pas des rapports de pur soumission .Dans l’ensemble c’est bordélique au possible et la question que l’on peut se poser, que je me suis posé en tout cas, c’est par quel miracle tout cela tient’il ?. Dans l’ensemble cette « apparence » que veut donner le régime n’impressionne absolument plus personne personne et les moyens de propagande mis par ce régime pour faire accroire un semblant d’ordre apparaisse dérisoire et archaique. C’est une situation trés ambigu le parti semble lointain tout en étant proche, son influence est peut etre là, impériale s La réponse de certain chinois a qui j’ai posé la question a été qu’il en avait toujours été ainsi, fatalisme ou peut etre que la somme des interets et leur étroite interdépendance, la culture « des relations », que sais je ?... Je suis tout a fait d’accord avec certain élément de votre analyse je n’en nie pas l’objectivité mais ce que je voulais dire ; c’est que contrairement a ce que certain sur ce fil voudrait croire, cette probable crise ne sonne pas le tocsin du capitalisme. Ca n’est pas la premiere ni la derniere que connaitra ce systeme économique qui en a vu d’autre et qui s’apprete a en voir d’autres. Cette crise entre euphorie et dysphorie est le capitalisme meme. Quand a la réaction des pouvoir public à de possibles émeutes ils réagiront par la force et puis consentirons a quelques réformes. Que voulez vous qu’ils fassent ? La . Cordialement et au plaisir de vous relire