Comme quoi être de droite n’est pas une sinécure lorsqu’on pense et réfléchit.
Le libéralisme est une grave utopie qui ne sait à quel « sein » se vouer, comme le gaullisme en son temps, n’y a-t-il pas des « libéraux de gauche » et des « gaullistes de gauche », toute cette idiotlogie qui fait rire ceux qui la pronent et qui n’y croient pas un instant comme Madelin (ex-ordre nouveau).
Le libéralisme économique est un leurre servant les desseins du néo-conservatisme qui prétend tendre vers, alors que ce n’est jamais le but caché, comme le communisme était une phase pour soit-disant atteindre le socialisme, le néo-conservatisme se sert de l’utopie libérale pour mieux installer le totalitarisme.
Etre de droite est un choix sans nuance, aucune marge n’existe entre le fascisme et le progressisme social, on y retrouve à chaque fois les attributs despotiques, de Le Pen à Bayrou en passant par la pseudo sociale démocratie de Strauss Kahn, être de droite c’est accepter la dominance de castes sur l’ensemble de la nation, quelque soit la forme prise ou la manière engagée, il s’agit de régner avant de partager.
La question est de savoir si l’auteur lorsqu’il sera devant l’urne choisira de voter contre l’UMP et satellites, sinon son geste n’a aucun intêret et ce texte devient un brulôt propagandiste de plus, ou si sa conscience politique enfin se developpe et qu’il comprend que la droite ne peut enaucun cas aller dans le sens de l’avenir de ce que chacun sur terre recherche : le Bonheur particulier et général.