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Accueil du site > Tribune Libre > Lettre de départ de l’UMP

Lettre de départ de l’UMP

Il s’agit ici de ma lettre de départ de l’UMP qui sera envoyée dès ce soir suite au vote des militants concernant les nouveaux statuts du parti qui se retrouvent maintenant verouillés.

Mesdames, Messieurs les dirigeants de l’UMP

Le dimanche 23 septembre 2007, les militants de l’UMP ont décidé de voter oui à plus de 95 % au changement des statuts du parti. L’UMP a alors une direction collégiale.

Ayant voté moi-même contre la modification des statuts, vous comprendrez pourquoi j’ai décidé de partir de ce parti en vous rendant ma carte.

Lorsque j’ai adhéré pour la première fois en 2002, je l’ai fait par passion pour la politique, non pour soutenir un homme coûte que coûte.

Lorsque j’ai vu à la Baule en 2005 des militants dire qu’ils soutenaient Nicolas Sarkozy sans pour autant qu’ils se demandent pourquoi ils le font et sans dire dès lors leurs propres idées, il est vrai que j’ai commencé à me poser des questions, à savoir pourquoi ils faisaient déjà cela alors qu’il restait deux ans avant les élections présidentielles.

Mais comme tous les militants, je me suis tu. Je me suis tu parce que tout le monde disait que Nicolas Sarkozy était libéral (ce qui était vrai à l’époque d’ailleurs) et que le libéralisme correspond aux valeurs auxquelles je crois.

C’est alors que Nicolas Sarkozy s’est mis lors de ses discours à faire des propositions de plus en plus étatistes, de plus en plus dirigistes comme par exemple le fait de parler de patrons voyous ou encore le fait de vouloir intervenir dans l’économie en sauvant des entreprises à coups de subventions.

Lorsque j’ai voté pour Nicolas Sarkozy aux élections présidentielles, je l’ai donc fait tout en sachant que celui-ci était "LE MOINS PIRE DES CANDIDATS" ; je l’ai fait tout en sachant que les individus ne seraient pas si libres que ça à la fin du mandant quinquénal pour lequel les citoyens l’ont élu.

C’est alors que lorsque notre actuel président de la république Nicolas Sarkozy a gagné les élections présidentielles, celui-ci, avant le début de son mandat a alors décrété que les statuts de l’UMP devaient changer, tout en démissionnant de son poste de président du parti.

J’ai entendu des choses de la part des cadres de l’UMP qui m’ont réellement fait bondir. Le fait que s’il y avait une direction collégiale, c’était en raison du fait que Nicolas Sarkozy resterait le "chef spirituel" du parti.

En fin de compte, la volonté de Nicolas Sarkozy était claire. Il s’agissait de vérouiller le parti afin d’empêcher de nouveaux talents politiques d’emmerger sur la scène publique afin d’empêcher des libéraux comme Rachid Kaci de prendre la direction du parti.

C’est pour ces raisons que j’ai voté non à la réforme des statuts. Et c’est surtout parce que je n’ai pas envie d’être un mouton au service du président de la République que j’ai décidé de rendre ma carte d’adhérant et ainsi de quitter l’UMP afin de me diriger vers un VRAI parti libéral.

Cordialement,

Denis Erpelding


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54 réactions à cet article    


  • Dégueuloir Dégueuloir 26 septembre 2007 21:55

    l’UMP un parti démocratique ?...ça se saurait...lol... smiley plutôt dans le genre bananier !!!!avec des idées du 19 eme siècle........sans intérêt !puissiez_vous être nombreux à vous tirer de ce cloaque répugnant....


  • non666 non666 26 septembre 2007 13:21

    Découvrir que l’UMP, le parti fondé pour faire re-élire Chirac est devenu le Parti pour faire ré-élire Sarkozy est la marque d’une clairvoyance certaine...mais un peu tardive non ?

    Pourquoi etait il le candidat obligatoire de l’UMP ?

    Il était le seul a contrôler une collectivité territoriale après avoir brillamment mené son campas aux raclée des européennes, des municipales , des cantonales et des régionales précédentes...

    Or Depuis les épisodes de la mairie de Paris, on sait ou les candidats trouvent l’argent de leur re-élection , non ?

    Maintenant que l’effondrement de la gauche est aussi idéologique qu’humain, que l’UMP se trouve sans concurrent, elle risque de regagner des grandes villes, des départements, des regions...et les financement occultes qui vont avec et que nous ont courageusement montré eva joly, van ryumbeke, le juge Jean-pierre...

    Il est donc urgent de verrouiller complètement le Parti en y mettant des gens discrédites et dépendants du Parrain pour leur pension alimentaire.

    Les gaullistes ?

    Entérré definitivement depuis le « retournement » d’alliot marie et la fuite de dupont-Aignan

    Les Chretiens democrates ?

    Ils n’ont été la que pour joué le role de traitres , et sont desormais ridiculisés, comme Fillon, Borlo, Douste-Blazy.

    Ayant brulé leurs vaisseaux, ils ne peuvent faire machine arrière.

    Les liberaux ?

    La fin de Madelin a été leur véritable fin. Désormais, même si ils sont mieux servis que les autres droites au sein de l’UMP, leur ralliement a été aussi leur fin.

    L’UMP est la synthèse du pourrissement de la pensée de droite comme le PS est l’échantillon représentatif de l’effondrement du marxisme, même en version réformiste.


    • ddacoudre ddacoudre 29 septembre 2007 01:46

      Bonjour non 666 tu as fait un tabac avec ton commentaire.

      Caricatural, concis et dramatique, car dans la suite logique de ce que tu écris les perspectives en seront tragiques. Lorsqu’un état n’a plus d’idéal à débattre il passe son temps à s’entre déchirer ou le passe sur le dos de boucs émissaires. Il cherche alors des responsables à ses maux dont il est l’auteur par des mots qui l’organise et s’ouvre en toute inconscience des portes vers des requiems pour la démocratie.

      Cordialement.


    • ddacoudre ddacoudre 29 septembre 2007 02:12

      Bonjour denisep

      Serais-tu le seul à croire que le modèle libéral existe en dehors du concept publicitaire que n’applique même pas ceux qui en sont les champions, les USA.

      Enfin de quel modèle libéral tu parles, car il y en a bon nombre d’approche.

      Maintenant que tu te sois rendu compte tardivement que, l’UDR puis le RPR ensuite UMP sont des écuries présidentielles, c’est un peu décevant si tu avais une vision naïve de la politique.

      Si par chance tu es chef d’entreprise il y a la possibilité de milité professionnellement au MEDEF, mais ils ont une approche du libéralisme qui t’as choqué quand tu l’as entendu dans la bouche de Sarkozy.

      Cordialement mais tu peux regarder du coté de Tocqueville. « Je suis tenté de croire que ce qu’on appelle les institutions nécessaires ne sont souvent que les institutions auxquelles on est accoutumé ».


    • Paul M 26 septembre 2007 16:41

      Ludo

      Parfaitement raisonné. Surtout que 95% on ne peut pas dire qu’il y ait photo...

      A la rédaction d’Agora : Je viens de faire un courrier à mon assureur pour lui signaler un accrochage suite à un refus de priorité. Pensez-vous que cela puisse faire l’objet d’un article ?


    • deniserp 26 septembre 2007 17:14

      Et vous ne trouvez pas que le fait que 95 % des militants aient voté oui à la réforme des statuts montre que justement les militants à l’intérieur de ce parti sont des moutons ? Moi si. Et je n’ai pas envie d’être cela. Ce n’est pas refuser la démocratie que de dire cela. Exprimer son désaccord n’a jamais fait de mal à la démocratie. Et quand on n’est plus d’accord avec la ligne du parti, il ne reste plus qu’à en partir. Le problème des partis que UDR, RPR et UMP c’est qu’ils ont été fondé sur le culte de la personnalité. Et ce n’est pas cela dont j’ai envie.


    • Paul M 26 septembre 2007 18:49

      Ha ! Si le but de la manipe est de faire de l’antagonisme pur et dur OK, c’est très bien ! smiley C’est autorisé aussi en démocratie.


    • Voltaire Voltaire 26 septembre 2007 13:54

      Le témoignage est intéressant, mais repose sur une dualité mal acceptée.

      Quel est donc l’élément déterminant de votre décision ?

      - La révision des statuts ? Il était évident que Nicolas Sarkozy ne laisserait à nul autre le soin de diriger la machine électorale qu’est l’UMP. C’est en prenant le parti qu’il a vaincu Jacques Chirac et Dominique de Villepin, comme Chirac avait vaincu Edouard Balladur en son temps, et il tient trop à sa réélection en 2012 pour laisser à quiconque une occasion de le contester. Il a donc fort logiquement mis à la tête du parti un éléments croupion pour conserver le pouvoir. Et quel qu’aurait été l’avis des militants, le résultat aurait été le même (on sait « arranger » une élection à l’UMP...).

      - Les options économiques du président ? Là aussi je m’étonne... N. Sarkozy n’avait-il pas été ministre de l’économie ? Son credo n’a guère varié : partisan d’un système économique et de société à l’américaine, il est donc libéral sauf quand cela ne sert pas sa vision des choses. Tout comme le gouvernement américain, il devient alors, logiquement, interventioniste. Et quand on ajoute son caractère volontariste, on ne peut guère s’étonner de cette politique.

      Ceci dit, il n’existe guère de « libéraux » au sens propre en Europe, à part en Grande-Bretagne sans doute. Bon courage donc.


      • deniserp 26 septembre 2007 17:25

        Le problème, c’est que le libéralisme ne lui sert souvent pas sa vision des choses. Et je ne suis pas d’accord avec cela. Certains ici ont raison, la création de l’UMP a amené les courants libéraux, gaullistes... à disparaître. Heureusement, un parti libéral a été créé il y’a maintenant pratiquement deux ans. Et c’est vers lui que je vais me diriger.


      • Leonid Bronstein 26 septembre 2007 14:06

        l’ancien militant de l’UJP que je suis n’a jamais pris de carte au RPR, ni à l4UMP car ce parti ne represente en rien l’Idéal Gaulliste dans lequel j’étais engagé depuis 1968.... RPR et UMP c’est identique à la machinerie du PC, du PS ou du NSDAP....

        C’est pour cela que tout part en couille avec des gens qui font semblant, et le résultat c’est un écroulement en cours !


        • non666 non666 26 septembre 2007 14:22

          La création de l’UDR c’était :

          Le gaullisme survivra a Degaulle.

          La creation du RPR c’etait :

          Le gaullisme c’est Chirac

          La creation de l’UMP c’etait :

          Qu’importe le Gaullisme du moment que Chirac est reelu....

          La refonte de l’UMP c’est :

          Ce que vous avez accepté de chirac, vous pouvez bien le faire pour moi...

          Effectivement, nous autres gaullistes sommes tombés bien bas. Il va bien falloir que nous créions un parti , un jour.


        • blitz 26 septembre 2007 15:39

          @non666 très juste, mais De Gaulle est « apparu » dans des circonstances dramatiques, alors faut-il que nous en passions également par là pour lui trouver un digne successeur ???


        • Leonid Bronstein 26 septembre 2007 16:42

          Le problème c’est que des « nains » politiques ont voulu chausser les bottes d’un géant ! Ils se cassent la figure !....


        • Matéo34 Matéo34 26 septembre 2007 14:24

          @ l’auteur.

          Bonjour,

          C’est toujours un plaisir de voir un libéral qui découvre le libéralisme...

          De Tocqueville à Tatcher, en passant par Reagan, ils se sont tous appuyer sur l’Etat pour mener une politique sécuritaire et réactionnaire. Leur libéralisme politique est aussi réelle que la concurrence libre et non faussée chère aux économistes de l’école de Chicago : il faut un Etat policier, quelque soit la couleur (Chili de Pinochet comme la Chine pseudo communiste)pour réaliser leur « paradis » économique.

          Tu peux lire sur le site de Marianne la cellule journalistique de l’Elysée qui fournit les commentaires clé en main aux journalistes et les éditorialistes lui sont acquis... C’est à se demander si la « Pravda » du temps de Brejnev n’avait pas plus d’esprit critique !

          les militants ont voté, tu n’acceptes pas le scores. C’est une chose assez bizarre... pour un démocrate. Tu dis qu’il n’est pas libéral, alors là tu te trompes : il utilise la même manière qu’a utiliser Blair en GB pour faire passer les réformes qui sont exactement les mêmes.

          Que tu ne veuilles pas être un moine soldat, c’est tout à ton honneur.

          bonne journée ;

          Matéo34


          • Martin Lucas Martin Lucas 26 septembre 2007 15:52

            Drôle de définition de la démocratie... La démocratie n’est pas seulement le respect de la majorité mais aussi celui des minorités.

            Les systèmes électoraux, que vous appelez à tort démocratie, sont tous imparfaits, et les puissants les choisissent en fonction des effets recherchés.

            Enfin, confier le pouvoir ad vitam à un collège, est-ce vraiment une action démocratique, malgré le vote majoritaire ?


          • LaEr LaEr 26 septembre 2007 18:02

            Juste pour revenir sur un point... Beaucoup insitent sur le fait que pour eux, quand on quitte un groupe (quel qu’il soit) après un désaccord sur un résultat électoral, c’est un deni de démocratie...

            Je dois dire que cela me laisse perplexe :

            Qui a dit que l’on devait se soumettre comme un mouton contre ses opinions ? Il est plus courageux, et plus respectueux, de prendre se bagages et de dire « je ne me reconnait plus dans ce groupe » que de tenter de le saborder de l’intérieur....

            C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de ne pas revenir en France après les élections de Mai 2007... Je préfère rester « éxilé » que de me voir inclu dans cette société dans laquelle je ne me reconnais plus.


          • moebius 26 septembre 2007 14:38

            C’est avec immense plaisir que j’apprend votre départ


            • Barbathoustra Barbathoustra 26 septembre 2007 17:50

              Y’a Alternative Libérale emmené par Fillias qui aux dernières élections avait appelé à voter Bayrou si je me souviens. De toute façon, il n y’aura pas de « révolution libérale » en France. La réalité des pays ou la concurence libre, saine et non fausée est censée assurer le bonheur du peuple de manière optimale, l’aura rattrapée bien avant. Cela Sarko l’a bien compris, c’est visiblement ce que notre auteur lui repproche. Pourquoi pas ? Y’a bien des gens ayant quittés le PS, pas suffisamment à gauche selon eux.


            • LE CHAT LE CHAT 26 septembre 2007 16:40

              T’as décidé un jour de consulter l’ophtalmo et la lumière est enfin apparue ! Sarko est un vulgaire populiste ne songeant qu’à conforter son pouvoir , un petit Duce rampant au pied de son maitre le führer Debeulyou qui lui veut régner sur le monde ! bon sang , mais c’est bien sûr !  smiley les 100 jours passés , on commence à percevoir sur agoravox la fin de l’état de grâce , Sylvain Reboul peut pousser un ouf de soulagement , plus que quelques millions à convaincre ... smiley


              • Dan51 26 septembre 2007 16:55

                Comme je vous comprends...

                Il y a pas mal de Gaullistes qui ont rejoint la formidable aventure humaine qu’est le Mouvement Démocrate...

                Les citoyens y prennent la parole et ne sont pas prêts de se laisser museler ni « vérouiller »...

                A vous d’y jeter un oeil


                • Goulven Goulven 26 septembre 2007 22:17

                  Heu ... l’auteur n’est vraiment pas obligé non plus hein. Je suis pas sur qu’il y serait tres à l’aise, dans ce mouvement democrate ...


                • Chichile Chichile 27 septembre 2007 14:53

                  Y’a pas quelqu’un qui, il y a quelques semaines, avait fait part de ses sentiments après la grand-messe UD... pardon MoDem ? Avec l’impression très nette d’un BayrouShow, si je me souviens bien.

                  Faut pas se leurrer, si l’on entre dans un mouvement politique, sauf à s’y impliquer à 250%, c’est petit doigt sur la couture du pantalon, en avant ’arche, et on cogne sur les clous qui dépassent. Alors venir faire l’éloge du Modem, ça reste d’abord et avant tout le parti de François, point à la ligne, et pas celui de ses militants.


                • Nobody knows me Nobody knows me 26 septembre 2007 17:50

                  L’auteur a écrit : « Lorsque j’ai vu à la Baule en 2005 des militants dire qu’ils soutenaient Nicolas Sarkozy sans pour autant qu’ils se demandent pourquoi ils le font et sans dire dès lors leurs propres idées, il est vrai que j’ai commencé à me poser des questions, à savoir pourquoi ils faisaient déjà cela alors qu’il restait deux ans avant les élections présidentielles. »

                  Ca alors !! Vous avez croisé lerma !!

                  Blague à part :

                • Le sujet n°2563153221 présente des signes de réveil.
                • Procédure de recherche n°2563153221...
                • Sujet n°2563153221 détecté...
                • Envoi des sentinelles...
                • Sujet n°2563153221 éliminé...
                • Procédure terminée.
                • Ca y est ? Néo est sorti de la matrice ?


  • Forest Ent Forest Ent 26 septembre 2007 18:08

    Historiquement, ni le PS ni l’UMP ne sont libéraux, au sens le plus répandu du terme. Ils ont pratiqué la même politique faite à la fois de mondialisation et d’interventionnisme saugrenu, c’est à dire qu’ils se débrouillent pour être à la fois ultralibéraux, pas libéraux et étatistes.

    La principale différence est dans le style. Au PS, on est « participatif ». A l’UMP, on a le « fuhrer prinzip » : ce n’est pas pour rien que ce parti a toujours été appelé le « parti des godillots » (mais à l’époque Mitterrand, on avait aussi des godillots au PS).

    Le style « godillots » semble efficace électoralement, mais pas trop pour gouverner (ça peut se vérifier en interviewant le gouvernement actuel smiley ).

    Sarkozy, le moins pire ? Je pense le contraire : cet homme est dangereux.


    • ddacoudre ddacoudre 29 septembre 2007 22:14

      Bonjour forest et c’est peu dire.

      Cela ne saute pas aux yeux si l’on n’a pas toute l’information et la capacité d’analyse qui est la tienne. Les autodafés ne sont pas le fruit du « hasard ».

      Aujourd’hui elles se pratiquent d’une manière moins brûlante par la régression du savoir alors qu’il n’y a jamais eu autant de disponible. Sauf qu’il fut une époque ou l’émancipation de la classe dite ouvrière était un objectif, former la population à assumer sa citoyenneté, ce qui exige d’en connaître la complexité de ses mécanismes, de ses systèmes avec toutes les dichotomies qu’il en ressort, garante de notre humanité dans un monde de cruauté.

      Mais voila nous avons une nature, nous dirons un inné hérité du cueilleur que nous étions, qui par soucis d’économie d’énergie recherche la facilité. Or s’instruire demande un effort que ne ferait personne si nous n’y étions pas contraint, si bien que même quand il s’agit d’apprendre nous apprenons ce qui demande le moins d’effort, ou alors il faut une émotion forte pour retenir facilement une difficulté ou se souvenir durablement d’un événement. (L’actualité des faits divers s’appuie largement sur ce processus, en plus de la répétition Pavlovienne)

      Donc ce qui c’est développé est la lecture, la connaissance mercantile, qui pour être vendu utilise nos innés.

      La connaissance au sens du savoir qui apporte les moyens de comprendre son être et le monde dans lequel nous vivons, tout comme les mécanismes ou systèmes qui nous organisent et que nous contribuons à ériger consciemment ou non, celle là qui est difficile qui demande un effort n’est l’apanage que de quelque uns, d‘une élite que nous formons pour cela et de ceux qui croient à l’émancipation par le Savoir.

      J’ai le souvenir de ma première mission mettre en place un plan de formation fin 1969 dans la droite ligne de l’éducation permanente cheval de bataille de la nouvelle société voulu par Delors et Chaban avant qu’il se fassent bouter, et bien personne n’en voulait ni les employeur ni les salariés. Son essor n’a pu se développer que grâce aux grandes entreprises, mais tout le contenu devait n’être que professionnel dépouillé de toute formation générale.

      J’ai participé aux premiers stages de communication dirigés vers les chefs du personnel qui allaient devenir les DRH (directeur des relations humaines) eux avaient droit à une formation générale sur les comportements humains pour y approprier au mieux la communication.

      Nous sommes toujours sous ce rapport seul ceux qui ont vocation à diriger les autres ont accès à ce savoir, je dirais d’initié, en faisant une comparaison avec les séculaires mésopotamiens qui disaient « l’initié doit instruire l’initié, l’ignorant ne doit pas savoir »

      Si bien qu’aujourd’hui le savoir émancipateur (certains diraient citoyens) existe mais il est, pas brûlé comme par le passé, mais étouffé sous la masse énorme d’informations narcissiques, informatives, ludiques et mercantilistes. Il n’est plus utile d’allumer des brassiers il suffit d’inonder l’espace informatif.

      C’est pour que la connaissance et le savoir collectif ne se construisent pas plus dans des kiosques à journaux et magazines, que dans les fractions informatives radio ou télévision (la culture populaire).

      Ceci, même s’ils y contribuent ou donnent envie de savoir, et même si le développement du savoir a commencé par-là (la communication orale, puis écrite et leurs supports), même si la culture populaire a servi, et sert de creuset, de foyer dont sont sorties toutes les émancipations. Et ce n’est pas la contester que de reconnaître aujourd’hui, que la diffusion du savoir et de la connaissance ne peuvent exister pleinement que par une structure d’enseignement permanent le long de l’existence compte tenu de sa quantité, et de la qualité nécessaire quelle exige.

      Alors bien entendu tous ceux qui croient que notre existence est comptable vont aller vers des déconvenues en ayant élu pour ne m’en tenir qu’a cela le représentant des grands argentiers. Le grand pas vers le totalitarisme l’avenir proche va nous en informer, et à mon sens il n’est pas le fait d’un homme mais celui d’une évolution des comportements de la population qui élise un homme qui correspond à leur aspiration.

      Cordialement.


    • Harald 26 septembre 2007 18:32

      Je vends une carte du PS d’occase si ça vous intéresse. smiley


      • Gasty Gasty 26 septembre 2007 19:17

        Moi aussi ! je vend une carte du PS (mais piraté). Les cotisations sont à jour jusqu’en 2076.


      • Mysticman Mysticman 27 septembre 2007 04:18

        j’avais aussi ma carte du PCF, je n’ai jamais été aux réunions ni payer les cotisations, j’ai reçu l’huma et tout et tout pendant quelques mois, les invitations aux réunions pendant quelques mois et ça n’a pas duré je me suis vite rendu que ce parti était social-souverainiste et qu’il incarnait le déclin dans la vie politique française.

        Le score de Marie-Georges est risible d’ailleurs. Remarque dans ses principaux soutiens de campagne, prendre Mouloud Aounit, l’anti-raciste patron du MRAP contesté par les militants de l’association à cause de ses positions islamo-gauchistes, ça ne l’a pas arranger bien au contraire.

        Je pense que Marie-Georges Buffet est à la gauche ce que Chritine Boutin est à la droite.

        Pour en venir sur l’article, ça me rappelle le coup de Dupont-Aignant qui avait claqué la porte reprochant l’UMP de ne pas être représentative et démocratique.

        Sinon il y a un petit libéral que je trouve très bien, c’est l’Alternative Libéral. C’est à vrai dire le seul vrai parti libéral qui compte dans la vie politique française.


      • Emile Red Emile Red 26 septembre 2007 18:34

        Comme quoi être de droite n’est pas une sinécure lorsqu’on pense et réfléchit.

        Le libéralisme est une grave utopie qui ne sait à quel « sein » se vouer, comme le gaullisme en son temps, n’y a-t-il pas des « libéraux de gauche » et des « gaullistes de gauche », toute cette idiotlogie qui fait rire ceux qui la pronent et qui n’y croient pas un instant comme Madelin (ex-ordre nouveau).

        Le libéralisme économique est un leurre servant les desseins du néo-conservatisme qui prétend tendre vers, alors que ce n’est jamais le but caché, comme le communisme était une phase pour soit-disant atteindre le socialisme, le néo-conservatisme se sert de l’utopie libérale pour mieux installer le totalitarisme.

        Etre de droite est un choix sans nuance, aucune marge n’existe entre le fascisme et le progressisme social, on y retrouve à chaque fois les attributs despotiques, de Le Pen à Bayrou en passant par la pseudo sociale démocratie de Strauss Kahn, être de droite c’est accepter la dominance de castes sur l’ensemble de la nation, quelque soit la forme prise ou la manière engagée, il s’agit de régner avant de partager.

        La question est de savoir si l’auteur lorsqu’il sera devant l’urne choisira de voter contre l’UMP et satellites, sinon son geste n’a aucun intêret et ce texte devient un brulôt propagandiste de plus, ou si sa conscience politique enfin se developpe et qu’il comprend que la droite ne peut enaucun cas aller dans le sens de l’avenir de ce que chacun sur terre recherche : le Bonheur particulier et général.


        • Harald 26 septembre 2007 18:41

          Vous seriez pas anar sur les bords ?

          Ou bien juste un peu trop lucide à vous rendre désabusé et sans espoir ?

          Parce qu’à vous lire, la corde n’est pas loin. smiley


        • Emile Red Emile Red 26 septembre 2007 19:08

          Qui sait, peut-être que l’anarchie, finalement, est la seule utopie qui ne supporte aucun méandre idéologique ou religieux, un espoir en somme...

          Toujours sur la corde, non pas au bout là où le militantisme se complait.


        • minijack minijack 27 septembre 2007 03:14

          @ Emile Rouge (red)
          (Vous semblez bien mériter de votre pseudo, en effet, le rouge vous va bien.)

          Vous exagérez un brin !... Être libéral n’est pas synonyme d’être ultralibéral et bushiesque.

          Je me sens libéral et je me déclare de droite parce que je crois à la libre entreprise et pas au collectivisme lequel a largement prouvé son incapacité sauf celle de distribuer (mal) l’argent qu’il n’a pas faute de productivité.

          L’humain est ainsi fait qu’il travaille plus vite et mieux lorsqu’il travaille pour lui-même. Bizarre, non ? Être libéral c’est en tirer les conclusions qui s’imposent.

          La « lutte des classes » est une utopie indigeste. Mieux vaut lui préférer la collaboration des classes. Encor faut-il qu’elle soit juste et équitable, ce qui n’est effectivement pas le cas.

          Il est évident maintenant qu’il y a aussi des libéraux à gauche qui, depuis les bévues lamentables des premiers gouvernements socialistes (Mauroy, Fabius, etc), ont su prendre la mesure des réalités. Rocard était de ceux-là comme Edith Cresson ou ce brave Béré.

          Tout comme la gauche n’a pas (si toutefois elle l’avait jamais eu) le monopole du coeur, la droite n’a pas le monopole des conneries. Ce qui ne les empêche pas ni l’une ni l’autre de dérâper de temps à autre, et de prendre aussi parfois quelques mesures remarquables... trop rarement il est vrai.
          Heureusement la France est solide et n’est pas en faillite comme on voudrait nous le faire accroire. Ca ne veut pas dire qu’on doive dépenser à tout vat et n’importe comment.

          En fait, il y a des gens bien et de bonnes idées de chaque côté et, bien que je n’aie pas voté pour lui, je trouve tout à fait intéressante l’expérience qu’est en train de mener Sarkozy en prenant des gens de gauche dans son gouvernement.
          Ce qui me chagrine un peu (même un peu beaucoup) c’est la manière dont il s’y prend en ramenant toujours tout à lui. Ca enferme davantage les bonnes volontés un peu naïves tentant l’essai que ça ne libère les énergies. Du coup, ça risque de faire l’effet inverse de celui auquel on aurait voulu croire... Cela dit, 100 jours ça n’est effectivement pas suffisant pour juger. Ne tombons pas dans le travers démago politicien consistant à tout critiquer dès lors que c’est proposé par l’adversaire politique. Attendons de voir.

          Je précise que, bien que libéral, j’ai voté Ségolène parce que je ne me reconnaissais plus dans l’UMP-godillots ni dans la politique ultralibérale de Sarkobush. Ségolène m’a semblé la plus à même de tirer le PS vers les réalités actuelles.
          Elle n’a pas réussi, dommage ! Vu comme Sarko s’y prend pour hérisser le poil de ses propres amis, nul doute qu’elle réussira la prochaine fois. On aura malheureusement perdu quelques années.
          Mais j’aurais volontiers voté MAM ou même Villepin si ça avait été possible, car il me semble que le gaullisme peut aussi se préoccuper de social tout en restant dans le monde de la libre entreprise.
          Les meilleures années de la France (les trente glorieuses) remontent à De Gaulle et Pompidou. Ce n’est pas un hasard !
          C’est avec Barre, le « meilleur économiste de France » (selon Giscard), que la dégringolade économique a commencé et qu’on a ouvert la porte à un tas de conneries collectivistes qu’on paie aujourd’hui. Il suffit de se rendre compte du niveau des taxes et impôts à l’époque et comparer avec aujourd’hui en parallèle du nombre des fonctionnaires... Et que je sache, les enfants n’étaient pas moins bien éduqués qu’aujourd’hui, et les services publics — EDF/GDF, PTT, etc,— ou hospitalier n’étaient pas moins bien assurés. L’immobilier n’atteignait pas des sommets himalayens, de nombreuses familles ouvrières pouvaient « faire construire » avec un petit prêt, et on n’empoisonnait pas encore la planète au niveau d’aujourdhui... (sauf en URSS !)

          Peut-on revenir en arrière ? C’est toute la question. La réponse n’est ni de gauche ni de droite. Elle est tout simplement de bons sens.


        • Nobody knows me Nobody knows me 27 septembre 2007 09:42

          « Je me sens libéral et je me déclare de droite parce que je crois à la libre entreprise et pas au collectivisme lequel a largement prouvé son incapacité sauf celle de distribuer (mal) l’argent qu’il n’a pas faute de productivité. »

          Pardon, mais si les richesses étaient bien réparties dans le capitalisme et le libéralisme, ça se saurait je crois. HIIIIIIIIIIN ! Système suivant !


        • Emile Red Emile Red 27 septembre 2007 12:12

          Le libéralisme est le déclencheur de ce que l’homme a de pire en monnaitisant tous les actes de la vie sous couvert d’une morale pseudo-égalitaire qui ne peut même pas se montrer équitable.

          Le collectivisme qui, par mode, est totalement décrié, n’a rien à voir avec le collectivisme d’état que nous a tristement montré l’URSS, le vrai collectivisme est bien axé sur la propriété a contrario du communisme-léniniste, et celui-ci fonctionne parfaitement bien à votre porte, l’exemple des scoops ou des coopératives agricoles le prouve chaque jour. La sécu et les retraites en sont d’autres exemples et si ces organismes étaient dans les mains de gens désintéressés et basés sur un véritable système de répartition égalitaire et non équitable, il est quasi sûr que le fonctionnement en serait meilleur

          Le libéralisme est basé sur le patrimoine héréditaire, jamais nulle part il dépossède le riche pour repartager selon les besoins et capacités de chacun.

          Aujourd’hui la seule voie viable économiquement, pour de multiples raisons longues à énumérer ici, est la propriété des moyens de production dans les mains des productifs et non dans celle des financiers, rien à voir avec le collectivisme d’état qui est au même titre que le libéralisme une forme de servage de la main d’oeuvre au profit de quelques uns.

          Le libéralisme est tout autant dévoyé que le collectivisme d’état car ils sont enracinés dans les plus bas instincts humains, et l’un comme l’autre sous entendent une productivité non contrôlée par les productifs eux même.

          Ressortir le vieux poncif du « monopole du coeur » n’a rien à faire dans une idéologie déshumanisée où on a que faire de morale au milieu de listings de chiffres et de nombres, le point de vue moral est l’argument avancé pour combler les lacunes humanistes de la droite, plus, cette morale affichée n’est qu’une retranscription des précepts chrétiens qui sont tout autant dévastateurs sociologiquement que la gestion numérique de la société. La droite se trompe du premier mot au dernier point en fixant sa perception de la société sur l’individualisme prédateur qui est la négation exemplaire du groupe social, il ne peut y avoir société, morale commune ou solidarité que par une vision globale de l’humain dans ses caractères naturels communs et particulariser un être ou un groupe dans un but extra moral, solidaire ou commun ne peut être considéré par l’ensemble du groupe que sous la forme d’un parasitage réactionnaire.


        • Mysticman Mysticman 27 septembre 2007 22:00

          L’Espagne est le seul pays d’ailleurs où il y a un parti anarchique.


        • Emile Red Emile Red 28 septembre 2007 19:48

          Un parti anarchiste ? La FAI ?

          C’est ne rien connaître à l’anarchie que de dire une telle sottise.

          Et la FA existe aussi en France ou en Italie.


        • iakeche 26 septembre 2007 18:42

          Il y en a qui ont cru à une époque au petit papa Noel soviétique . Autre époque :mêmes moeurs !!


          • Emile Red Emile Red 26 septembre 2007 19:02

            Baahhh on a les idoles qu’on mérite...


          • patroc 26 septembre 2007 19:24

            Bravo ! Bonne et sage décision que vous ne regretterez pas. Vous faites partis des très rares moutons noirs (c’est un compliment) échappés du troupeau hypnotisé par son berger. Vous voilà libre, politiquement. Restez-le ou déplacez-vous sur la gauche, vous arriverez au centre : C’est la meilleure place !...


            • Emile Red Emile Red 26 septembre 2007 19:46

              Il est vrai que la meilleure place face au trou est d’y être au centre, on a ainsi la certitude de se casser la gueule jusqu’au fond...


            • LE CHAT LE CHAT 27 septembre 2007 09:23

              @EMILE RED

              l’avantage d’être au centre , c’est qu’on se sent moins con sur les bords ! smiley


            • Emile Red Emile Red 27 septembre 2007 12:17

              Voudrais tu dire qu’au fond les centristes ne sont pas si cons ?


            • Philippe MEONI Philippe MEONI 26 septembre 2007 19:27

              Bonjour deniserp, en tout cas, bravo pour votre courage à reconnaître votre erreur, laquelle, collégiale à l’UMP, contribue à l’installation tranquille d’une future dictature... Merci de votre franchise espérant que la grande majorité de ceux dans votre cas fassent aussi leur mea culpa avant que le pire n’arrive... Amicalement


              • Barbathoustra Barbathoustra 26 septembre 2007 22:06

                Dictature, tu parles. Pratiquement tous les pays dit « libéraux » sont aux mains des conservateurs aujourd’hui. Le libéralisme en tant qu’idéalisme avec ses dérivés minarchistes ne sont rien d’autre que des utopies du capitalisme.


              • moebius 26 septembre 2007 23:22

                ...vive l’anarchie, le libéralisme et le piratisme avec une jambe de bois et un bandeau sur l’oeil droit ou gauche, c’est comme vous voulez


                • Bigre Bigre 27 septembre 2007 00:26

                  @ l’auteur : merci ! Je désespérais de voir des gens intelligents dans le troupeau de moutons !

                  Merci pour ce sursaut démocratique ! Et publier votre lettre est une démarche très positive.


                  • ernst 27 septembre 2007 02:03

                    Mais ki té, frérot, pour montrer ton indignation posthume ?...

                    Tu veux quoi ?... Un satisfecit de bonne conduite ?...

                    Non seulement tu as bu la soupe mais en plus tu craches dedans. Répugnant.

                    Crois moi, quand on se fait enfiler, le mieux est de ne rien dire par ce que si tu gueules, l’autre derrière risque de prendre son pied deux fois !...

                    La prochaine fois, je voterai Sarko, pour remplacer les bande mous qui se défilent.


                    • Nobody knows me Nobody knows me 27 septembre 2007 09:39

                      C’est ça, continuez. Le mur n’est plus très loin...


                    • Algunet 27 septembre 2007 04:38

                      Je soupçonne l’auteur de n’avoir jamis été à l’UMP, ou alors sa naïveté n’a pas d’équivalent même à gauche. En bref, un fake constuit par un aigri politique...

                       smiley


                      • Gilles Gilles 27 septembre 2007 05:20

                        93%, c’est un score de dictateur, non ?

                        Depuis 5 ans Sarko organise le parti autour de sa propre personne donc pas étonnant qu’il souhaite rester le « chef spirituel »

                        Après, les militants UMP souhaitent eux aussi s’en remettre à un chef, un guide. Sinon, comment accepter qu’un homme qui a priori n’a plus de pouvoir direct sur la direction et les militants exige carrément de façonner les règles du jeux, centrées autour de lui, écartant les autres ? Seraient-ils tous incapables d’atteindre ne serait-ce que la talonette du Chef ? Tellement incapable que rien ne sert de leur donner des prérogatives ? Non, mais les militants ont besoin d’un Guide, ça les rassure. Et ça marche !

                        Ensuite, il faudra s’attaquer au français...... beware !!!! Déjà il se prend pour l’homme providentiel et l’histoire est remplie de tels égos... qui finissent plus ou moins différemment, mais souvent mal (avec leur peuple)


                        • Emile Red Emile Red 27 septembre 2007 12:21

                          Ils espèrent tous pouvoir gouter le gateau, en guise de récompense il pourront peut-être se raccrocher à la bouée du chef qu’il tient tant à cacher.


                        • vivelecentre 29 septembre 2007 05:56

                          il y a des partis ou c’est encore pire !!

                          la question de l’investiture ne se pose même pas , c’est « naturelement le chef »

                          et quand il y a une decision importante à prendre , le vote se fait à main levée sous le regard inquisiteur de la cellule dirigeante ( si tu veux garder ta place , vote la proposition du chef !)

                          ça se passe en 2007, en France !


                        • vivelecentre 29 septembre 2007 05:57

                          c’etait en reponse de l’intervention de Gilles : "93%, c’est un score de dictateur, non ? Depuis 5 ans Sarko organise le parti autour de sa propre personne donc pas étonnant qu’il souhaite rester le « chef spirituel »"


                        • LE CHAT LE CHAT 27 septembre 2007 09:28

                          tu peux aussi te faire une petite autoflagellation à l’iranienne pour expier tes fautes avant que le tyran n’impose l’embargo sur les produits de chez Amhanidejad ..... smiley

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