@ battement d’aile,
instaurer une hiérarchie dans un clan n’équivaut pas obligatoirement à instaurer un climat de violence : on apprend beaucoup plus vite l’obéissance à un animal avec des croquettes en guise de récompense, qu’à coups de bâton !!! il faut définir les limites de ce que l’animal est autorisé à faire : c’est exactement ce qui se passe dans la vie sauvage.
vous connaissez la puissance de pression de la mâchoire d’un fox-terrier ? d’un berger belge ? d’un griffon khortal ? : plusieurs dizaine de kilos par cm²... les chats attaquent en visant d’abord les yeux...
désolée, j’ai préféré apprendre à mes enfants à respecter les animaux et leur intimité, à se faire obéir d’eux avec gentillesse, et aux animaux à se tenir à leur place et respecter les ordres donnés, plutôt que de risquer un drame provoqué par un réflexe ancestral.
« Voici l’exemple typique du bipède à qui il ne faut surtout pas confier un animal ! »
je vis à la campagne, et la famille a accueilli chiens, chats, souris, poissons rouges, oiseaux tombés du nid, escargots, papillons... les grands-parents de ma fille étant agriculteurs, on peut rajouter : vaches, chevaux, moutons, cochons, volailles, lapins ...
et pitié !
ne faites pas d’anthropomorphisme en projetant sur les animaux des sentiments qu’ils n’ont pas ! certes, ils ressentent de l’attachement, de l’affection pour leurs maîtres, mais changez-les de maison, et donnez-leur d’autres maîtres bienveillants et affectueux, ils seront tout aussi bien dans leurs basquettes !!!
si l’animal est respecté en tant qu’animal et apprécié comme tel, il sera heureux.