Merci pour votre réaction à mon papier. Et pour les références qui permettront aux lecteurs de mieux saisir le contexte.
Mon texte cite une source : le décret d’application de la loi n° 2006-11 du 5 janvier 2006 d’orientation agricole.
Des commentaires, précédant le vôtre, la reprennent et l’enrichissent d’extraits et de citations.
Le purin d’orties est ravi d’être élevé au rang de produit phytopharmaceutique. Un jour ce sera peut-être le court-bouillon pour crustacés qui fera l’objet d’une réglementation coercitive ?
voir :
http://www.adamantane.net/ecriture_grise/varia_1/homards_en_conclave
Par ailleurs mon propos n’est pas de mettre des têtes au bout de piques. Je connais, ayant travaillé dix années dans une société concessionnaire d’un service public pour lequel la sécurité n’est pas un vain mot, puisqu’il s’agit d’autoroutes, les difficultés que l’on éprouve à rédiger des des textes à la fois explicatifs, pédagogiques, clairs, non risibles, et cohérents avec l’ensemble du corpus juridique.
Il est de faire réfléchir, et surtout de laisser aux têtes des citoyens la responsabilité de prendre quelques décisions d’ordre domestique. Si la règlementation va un peu trop loin, les dites têtes se déshabituent de réfléchir, ne pensez-vous pas ?
Bien cordialement.