@ L’auteur.
Quelle introduction fantastique.
« Test ADN, quotas, chasse aux sans-papiers, suspicion généralisée, c’est l’image de la France, patrie des droits de l’homme qu’on assassine. Les élites de la société civile acceptent de moins en moins des dispositifs législatifs au mieux mesquins au pire odieux qui sous prétexte de pragmatisme balayent nos grands principes et s’assoient sur les dettes d’un passé où la France était irrésistiblement tournée vers l’étranger. »
Disons plutôt que :
"Immigration massive, dérèglementation et suppression des frontières au seul principe de l’ouverture d’esprit, accusation systématique de fascisme lancée à toute personne voulant faire preuve d’un peu de raison, c’est le peuple de France, pays des français, qu’on assassine.
Peuple qui supporte de moins en moins que des élites auto proclamées lui expliquent qu’avec un taux de chômage supérieur à 10% et un système social couteux, distribuer des cartes d’identités comme si c’étaient des bonbons c’est trop génial parce que chaque immigré est « une chance pour la France ».
Je ne dis pas que la France doit être 100% gauloise, loin de là, mais il est plus qu’évident que l’immigration doit être contrôlée, et que cette rhétorique poisseuse sur « la France, pays des Droits de l’Homme », qui n’aurait de ce simple fait aucun droit de regard sur qui compose son corps citoyen, est au bas mot cruellement niaise, au maximum parfaitement imbécile.
Quant aux pays étrangers qui « s’offusquent » de la nouvelle politique d’immigration française, je serais curieux de voir leur méthode de gestion de l’immigration à eux.