Commentaire de Paul Villach
sur « Le livret jeune Swing » de la Banque postale : une publicité cynique
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Bravo ! Vous en savez des choses ! Par révélation, je suppose !
Voilà exactement le bavardage dont il faut se garder : vos projections fantasmatiques gratuites ne peuvent être démontrées.
Même si elles ne peuvent pas non plus être rejetées, elles ne sont pas utiles. Elles n’ajoutent rien à l’analyse que j’ai donnée et qui a été si heureusement complétée par un commentateur en soulignant la stimulation du réflexe de culpabilité chez les parents.
Il n’est nul besoin d’entrer dans la fiction romanesque pour que cette affiche livre tout son cynisme.
Méfiez-vous, une prétention à la profondeur par intuition propre au génie, fait la plupart du temps boire la tasse ! Paul Villach
Derniers commentaires
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08/10 13:00 - farniente
Monsieur HARREL, bonjour, J’ai aussi lu cet article dans Marianne, et en tire la même (...)
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08/10 01:17 - Yannick Harrel
Bonjour, J’avais lu votre article et l’avait mis dans un coin de mon esprit. Il a (...)
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07/10 21:04 - farniente
Monsieur VILLACH, Bon, cette vision de l’Histoire est réconfortante, mais peu (...)
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07/10 20:34 - Paul Villach
Non, pas du tout ! Pourquoi parler de génération sacrifiée ! Rien de comparable tout de même (...)
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07/10 20:11 - farniente
Bon, Monsieur VILLACH, je souscis à ce que vous dites. Alors actuellement, on est mal partis. (...)
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07/10 19:36 - Paul Villach
Nous sommes forcément impatients. Mais je crois qu’il faut se résigner à distinguer les (...)
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