Très bon artice qui met bien en avant le règne de « l’enfant roi ». Seul bémol étant la mise en page, mais cela sera à priori corrigé.
J’en reviendrai seulement aux commentateurs de cet article qui fuient si bien leur responsabilité en attribuant la faute aux autres. Cette faute est celle de l’ensemble des citoyens, ceux qui ne savent pas le problème ou ne s’en rendent pas compte et ceux qui en ont une bonne perception.
J’insiste sur les seconds car ce sont réellement eux qui ont les moyens d’agir. Aux parents d’élèves et aux professeurs s’accordants sur ces idées de se regrouper. Aux anciens parents et futurs de les rejoindre. Il faut convaincre et montrer en quoi on à tort.
J’ai l’impression que dans ce pays on se pose trop souvent la question du pourquoi, et non du comment résoudre un problème. Bien sur je suis contre l’exclusivité d’une de ces questions, mais pour un équilibre. On pourrait contempler un problème pendant des décennies avant de se décider à agir. Être sur le cerner parfaitement.
Mais dans quel domaine que ce soit il est impossible d’avoir une analyse parfaitement exacte de la situation, même dans les sciences dites exactes ! Il y aura toujours une part de mystères, alors agissons !
Un petit aparthé, je ne peux résister à la tentation du pourquoi (faites ce que je dis, pas ce que je fais :) ) :
Une question trotte dans ma tête : pourquoi un tel article du monde ?
Facile : 1 million de professeurs pourront/voudront le lire soit par curiosité, soit par intérêt (je me trompe peut être sur le chiffre n’ayant pas le statistiques). Des millions de parents qui souffrent pour leur enfant et s’en serviront de références lors des rencontres parents professeurs en s’improvisant apprenti psycologues de pacotille.
De quoi remonter en flèche les ventes du journal qui peine à intéresser les lecteurs. Il s’improvise ainsi référence retrouvée. En est il vraiment une ? S’en donne t-il les moyens ? Avec une centaine de millions de francophones en occident, et d’autres en Afriques, il pourrait s’y imposer. N’est ce pas son ambition : le MONDE ?
Il reste maintenant un journal incomplet pour francophone, de référence faute de mieux. C’est triste à dire, mais ce n’est pas complètement faux.
Telle est devenue la presse française.