La gauche française (ou ce qu’il en reste), la plus bête et certainement la plus pitoyable du monde (elle le prouve jour après jour), qui pratique comme d’habitude une indignation bien sélective.
Elle critique le mot « détail » mais cautionne l’expression « vous êtes des sous hommes ! ».
Comment peut on objectivement continuer à imaginer que ces gens aussi médiocres et insignifiants peuvent encore donner un semblant de début de réflexion aux français ?
Je suis je pense, comme beaucoup, las de cette insolente nullité affichée au grand jour avec un tel manque de retenue, que dis je avec une telle fierté décomplexée.
Qu’ils s’en aillent pour de bon tous ces loosers qui font de la polémique stérile une alternative à la discussion politique et à la proposition d’idées concrètes.
Après la canicule (quoi, vous ne dites pas à la télé que quand il fait chaud il faut boire ? C’est honteux),
après les infirmières (quoi, cette blondasse va discuter avec Khadafi pour libérer des roumaines, mais pour qui se prend elle ?),
après la faillite (quoi la France en faillite, mais c’est pas vrai, l’Etat est pété de tunes, c’est un mensonge) après la critique d’une tentative de soi disant caporalisation de la magistrature par la ministre de la justice (quoi cette icône des médias prétendrait nous donner des ordres à nous, magistrats du parquet ?, mais pour qui se prend elle ?)
on entend maintenant François Hollande déclarer sans gêne : "les stock options ? La question n’est pas, faut il les imposer davantage, mais c’est la question de leur suppression qui est en jeu.
Bingo ! C’était DSK, ministre de Jospin, qui les avait défiscalisées.
Médiocres, vous dis je, mais décomplexés... c’est très tendance