Etant moi-même fils d’immigré, je peux donner une opinion. C’est très simple : il y a 50 ans et plus les immigrés en France étaient, dans leur grande majorité, des européens qui voulaient s’intégrer, le plus vite possible. Mon père ne parlait pas bien le français après 40 années passées dans ce pays. Mais il voulait une chose : que son fils aille à l’école française et aille le plus loin possible dans ses études. Tous les immigrés de l’époque venaient pour travailler, pas pour profiter de tous les guichets qui permmettent de vivre sans travailler.
Il n’y avait pas -ou peu- de racisme, il y a cinquante ans parce que ceux qui n’étaient pas blancs étaient très minoritaires et travaillaient eux aussi et parfois dur.
Maintenant que, dans certaines écoles françaises, il y a une majorité d’africains, dont souvent les parents ne travaillent pas, il y du racisme et cela ne s’arrangera pas, n’en déplaise à quelques bonnes âmes qui habitent le 16ème arrondissement de Paris et voudraient que tous les clandestins soient régularisés, mais habitent loin de chez eux.
Personnellement, je ne vois pas d’issue heureuse à une situation où les pays les plus pauvres font de plus en plus d’enfants pauvres qui n’aspirent qu’à une chose : aller chez les pays riches, par tous les moyens.