« 1. La terminaison -i est la marque de l’infinitif. C’est aussi la terminaison des pronoms personnels, comme si les pronoms personnels étaient des verbes. Logiquement, les pronoms étant proches des noms par le sens et la fonction on aurait quelque chose comme : ego, tuo, elo (fém. elino), etc. »
oui et donc, mais vi, ni, ili, si, ect sont des monemes comme « sci », leur dérivation peut donner via, lia, ilia, vio, lio, lie, ect donc le premier point est une petite meconnaissance de la base de l’eo
« 2. La terminaison -a est la marque des adjectifs. Ceux-ci, comme les noms, sont infléchis au pluriel (-j) et à l’accusatif (-n), par exemple : granda domo (grande maison), pluriel : grandaj domoj, accusatif singulier : grandan domon, pluriel : grandajn domojn. Mais l’article, lui, est invariable, bien que se terminant en -a, marque des adjectifs, et étant proche des adjectifs par le sens. »
« la » pourrait il est vrai devenir pluriel et accusatif, c’est une chose que je n’avais jamais remarqué, c’est vrai que l’on peut sedire aussi pourquoi « ilian » et non « lan »
"Pour en revenir à l’espéranto il est très inutilement compliqué. Sa grammaire contient des absurdités.
J’en ai donné deux plus haut. En voici une autre : l’accusatif de direction. "
precisez s’il vous plait et donnez nous d’autres exemples, c’est toujours interressant de faire une autocritique
« Et son vocabulaire est un méli-mélo de racines tantôt germaniques (la hundo) tantôt latines (la domo) au petit bonheur la chance. Les racines latines sont tirées tantôt du latin classique (scii), tantôt de l’italien (mangxi, lui-même du latin vulgaire manducare) et de je ne sais quoi encore, toujours au petit bonheur la chance. En d’autres termes : a dog’s dinner »
le vocabulaire evolue avec le temps donc l’histoire de son origine n’a aucune importante
ĝis reskribos