à la mouche du coche.
Bonjour la mouche.
Je suis allé lire le lien, tu as raison, son article est bien. Il est « compassionnel » de tous les avatars accidentels que l’existence nous réserve indifféremment du sexe parce que, nous ne pouvons pas lire la totalité des évènements qui y conduiront. Notre existence est aléatoire et non pas déterminé comme le chacun voudrait pour éviter avec certitude ceci ou cela.
Mais celui de Massoulier dans un autre genre n’est pas mal du tout en rappelant la souffrance directe ou collatérale des victimes comme un expression de notre humanité, sans que pour autant elle ne débouche sur une chasse aux sorcières illusoire absorbant la justice et le pouvoir à ses seules fins, qui sont contestables car elles nous conduiraient vers un féminisme aussi délétère que le machisme.
Dans le domaine de l’horreur le sexe n’y est pour rien, les mécanismes de la passion se façonne culturellement et s’il y a une prédominance de criminalité masculine cela ne tient qu’a notre type de développement culturel.
Pour s’en convaincre il suffit de connaître des crimes commis par les locataires de la prison des femmes à Rennes. Je ne vais pas tomber dans la stupidité qui consisterait à préférer les crimes des uns ou des unes.
Sauf qu’il y a moins de soupe médiatique à vendre de ce côté-là et le machisme pousse aussi à les préserver.
Réduire l’homme a sa nocivité instrumentalisé par notre culture ou par ses passions qui si déploient et à long terme implanter les élément conduisant à un eugénisme pour ce préserver de l’incertitude événementielle et entrer de plein pied dans la dictature du dogme.
Ainsi aider les victimes et se préserver des perversités que nous avons définies ne se solutionne pas par la haine et la rancœur en soumettant l’autre à la loi du talion revisitée ou le harceler jusqu’à ce que mort s’en suive, dans ce cas l’on devient soi-même un criminel.
Je suis un farouche partisan de la liberté d’expression sauf quand elle conduit au « lynchage par le pilori ».
Cordialement.
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