Nul ne remet en cause son élection, cependant après réflexion, est-ce qu’une élection est démocratique si le candidat a basé son entière campagne sur mensonges et promesses intenables ?
Le souci de probité vaut autant que le souci de vérité, l’une comme l’autre n’ont été respectées, de là à douter de l’honnêteté de l’élu, il n’y a qu’un pas et c’est toute la confiance dans le système électoral et le représentant suprème du peuple qui est a remettre en cause.
D’aucun pourront, après ces évènements, dire « tous pourris » sans souffrir de contradiction légitime.
Le chef de l’état a, en quelque sorte, confirmé qu’ arnaque et mensonge sont parties intégrantes des rouages électoraux, réduisant les électeurs à une masse de gogos bons à berner et, pourquoi non, à trahir, jolie remise en question de la démocratie sur couverture Paris Match ou Voici.