On comprend en lisant l’article la croyance de l’auteur pour l’âme soeur, l’être unique dont il est écrit que c’est « le bon, le seul ».
Je pense au contraire que ce genre de concepts créés par l’hyper romantisme radical du type Roméo et Juliette contribue malheureusement, de la même manière que les magazines qui ne cessent de présenter des créatures de rêve en couverture à grands coups de retouches informatiques, ou encore l’industrie pornographique, à augmenter et intensifier l’incompréhension entre les sexes (l’hyper romantisme étant généralement plus fémininin et la pronorgraphie plus masculine). La société de consommation tend de plus en plus à exploiter les différences entre l’homme et la femme pour les enfermer un peu plus chaque jour dans leur carcan, dans une vision simpliste.
La conséquence est simple : comme le dit l’article, on cherche toujours mieux, croyant pouvoir trouver, mais on ne sera jamais satisfait. Au lieu de s’attacher à cette notion culturellement acceptée de l’amour (tellement récente et pourtant tellement acceptée comme la notion vraie et universelle) on ferait mieux de s’attacher à comprendre les rapports hommes-femmes. L’amour et la relation de couple n’est pas une notion à un seul sens, mais plutôt une définition que chacun doit définir et travailler, pour arriver un jour, l’espérons nous, au bonheur (qui soit dit en pensant peut être atteint sans passer par l’amour à tout prix).
Le couple semble la voie la plus désignée et idéalisée pour fonder une famille et assurer sa descendance, cependant des différences majeures entre les sexes et les cultures empêcheront sa réussite tant que chacun restera coltiné aux idéaux transmis par la société de consommation et ne sera en recherche que de son propre bonheur, finalement...