À l’intention des lecteurs qui éventuellement découvrent la question de l’immigration massive en provenance d’autres continents je souhaite apporter d’autres éclairages sur ce sujet. Ce sont des éclairages qui sont souvent occultés dans les médias. Ce sont des faits qui sont passés sous silence car il est « politiquement correct » de favoriser la propagande en faveur de la poursuite massive de l’immigration en provenance d’autres continents.
Et je vais préciser combien sont faux les prétextes démographiques et économiques qui sont utilisés pour obliger la population européenne à se plier aux dictats et à accueillir sans protester les flux d’immigration non-européenne qui est destiné à la remplacer.
La productivité s’améliore en permanence, mais en même temps on nous dit que la durée de travail ne peut qu’augmenter et que immigration depuis l’Afrique et l’Asie est parait-il indispensable.
L’article suivant explique où est la tromperie : « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ». Lien :
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=24555
Cet article sur le mondialisme décrit à qui profitent l’augmentation de la durée de travail et l’immigration massive des non-Européens.
Mais la vérité que l’Europe n’a pas un besoin vital d’immigration.
L’immigration non-européenne entre dans le cadre global des actions répondant aux préceptes de l’idéologie mondialiste. Ces actions apparaissent sous la forme d’un processus qu’on a dénommé mondialisation.
La mondialisation a bien entendu aussi été imposée aux Européens par les politiques se réunissant dans des instances européennes et prenant des décisions sous la dictée des lobbies notamment économiques et financiers qui pour défendre leurs intérêts prêchent la croissance économiques perpétuelle.
Ces lobbies, ou groupes de pression en faveur des flux de plus en plus massifs d’immigration non-européenne, sont essentiellement de deux sortes.
Il y a d’abord les groupes de pression organisés au sein d’institutions internationales, telles que l’ONU, qui poussent à installer la masse croissante des Africains sur le continent européen. Du point de vue de ces dignitaires des institutions internationales, l’organisation des flux migratoires toujours plus forts d’Afrique vers l’Europe, est la solution idéale pour résoudre l’incapacité des Africains de se prendre eux-mêmes en charge, et notamment est d’après eux la solution idéale pour résoudre les problèmes africains induits par l’incapacité des Africains de brider leur natalité, laquelle est devenue la cause principale de leur pauvreté.
Par exemple, la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales, de l’Organisation des Nations Unies, a publié un rapport intitulé « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? ». À cette question l’Organisation des Nations Unies répond par un OUI. En voici le résumé en français :
http://www.un.org/esa/population/publications/migration/pressfr.htm
Ce rapport prétend qu’il n’y a qu’une seule solution au déclin démographique des Européens autochtones : l’immigration massive en provenance d’autres continents. L’ONU précise que dans un pays où le taux de fertilité est dans la moyenne européenne, il faut chaque année 6 000 immigrés par million d’habitants. Pour le continent européen entier, avec 720 millions d’habitants, les dirigeants de l’ONU veulent donc que chaque année 4 320 000 immigrés non-européens viennent remplacer les Européens autochtones en voie de disparition. En cent ans, jusqu’en 2100, cela voudrait dire que plusieurs centaines de millions immigrés non-européens seront venus en Europe.
Il y a aussi les lobbies qui représentent les très gros intérêts économiques privés, qui ont intérêt à maintenir un haut niveau d’activité économique en Europe afin de continuer à s’assure un haut niveau de profits et pour cela veulent une forte immigration non-européenne. Dans le but d’accroître encore la richesse de quelques cercles restreints, les lobbies ont poussé les dirigeants européens à mettre en place une politique d’immigration, qui permettra d’importer 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe. Ce sont les objectifs chiffrés que l’ONU à fixés à l’Union européenne. La « carte bleue » permettra de régulariser le très fort flux d’immigration non-européenne qui est programmé dans les prochaines décennies.
Sur ce thème lire l’article publié sur AgoraVox : « L’Union européenne et sa « carte bleue » pour faciliter l’immigration non-européenne ». Lien :
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=29926
Vous pouvez y lire la description des faits incontestables. Les liens fournis dans l’article permettent de vérifier les chiffres qui sont avancés concernant l’ampleur des flux d’immigration non-européenne, qui est une immigration de remplacement (comme le précisent les textes de l’ONU), qui est certes une immigration en provenance pas uniquement d’Afrique, mais qui est ces dernières années devenue très majoritairement un flux massif et en augmentation en provenance d’Afrique (du nord et sub-saharienne).
Dans leurs décisions, les politiques tiennent-ils compte de l’opinion de la majorité des citoyens ? La mise en place des flux de remplacement de la population européenne a-t-elle été décidée d’après la volonté de la majorité des citoyens européens qui souhaitent exprimer leur opinion sur cette question qui est certainement fondamentale pour leur avenir et pour l’avenir de leurs descendants ? Les politiques au pouvoir sont-ils démocrates ?
Les Européens peuvent organiser leur société de manière à perdurer malgré la réduction de la population au lieu de disparaître par le remplacement. La course à la croissance économique perpétuelle ne doit pas être acceptée comme le but suprême de nos existences.
La course à la croissance économique perpétuelle ne doit pas conduire à l’extinction des Européens autochtones.
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Jusqu’au milieu de 20ème siècle, les immigrés en France étaient des Européens. Cette immigration européenne existe depuis la nuit des temps et dans tous les pays d’Europe. Ces immigrés-là étaient dès la deuxième génération intégrés, car par leur culture, par leur religion, par leur apparence raciale ils se fondaient dans la population au point d’en faire partie sans aucune distinction.
Notamment l’immigration européenne n’a pas créé des tensions extrêmes en introduisant une religion que les Français, et les Européens en général, en majorité n’appellent pas de leurs vœux.
L’arrivée massive des non-Européens et des musulmans, avec des références culturelles très différentes des références traditionnelles en Europe ou en France, provoque de forts changements dans les valeurs de référence de la société.
On en est à présent à la 3ème génération de ces immigrés musulmans Noirs ou nord-africains et au lieu d’assimilation, d’adaptation au peuple et à la terre d’accueil, on constate l’inverse : ils imposent le changement de la société française et européenne selon leurs critères.
Les tensions apparaissent. Il est à présent nécessaire en Europe, notamment par exemple en France, que ceux qui ne sont pas des Européens autochtones et qui sont souvent musulmans, soient bien intégrés dans la société. De même il est à présent nécessaire d’arrêter l’immigration massive depuis les autres continents.
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· Les lobbies locaux militent en faveur de la forte immigration non-européenne - avec quelles conséquences ?
Le manque de main d’œuvre était déjà à l’ordre du jour dans les années 1950. Il peut être intéressant de faire la comparaison avec les solutions qui à ce moment-là ont été adoptées en France ou dans d’autres pays d’Europe occidentale d’une part, et au Japon d’autre part.
Dans les années 1950-1960 il a été décidé en France d’importer des immigrés d’Afrique (du nord et sub-saharienne). La justification a été que l’industrie et l’économie en général ont besoin de toujours plus d’ouvriers pour assurer la croissance. Et c’était le commencement des changements massifs dans la structure raciale ou ethnique et religieuse de la population française, qui d’une population européenne aux racines culturelles chrétiennes au début du 20e siècle est devenue une population métissée et de plus en plus marquée par l’islam au début du 21e siècle.
Toujours dans les années 1950-1960, mais au Japon, il a été décidé d’automatiser l’industrie et les Japonais ont investi dans les robots et la réorganisation du travail dans tous les secteurs économiques. Ils ont réussi à créer une expansion économique durable et la population japonaise n’a pas changé sa structure raciale, ethnique ou religieuse.
Il y a là matière à de nombreuses études qui pourraient examiner comment les décisions dans un domaine - l’économie ou l’industrie - produisent des effets durables et parfois irréversibles dans d’autres domaines - culture, structure raciale ou ethnique de la population, structure religieuse...
21/10 15:55 - herve33
Excellent commentaire de Martin qui tranchent avec les autres . A combien de personnes vont (...)
20/10 23:02 - Martin sur AgoraVox
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20/10 21:31 - Martin Lucas
Cet article a le mérite de s’opposer non pas seulement aux tests ADN, mais aussi à la (...)
20/10 18:25 - Sz
Jusqu’ici, pour le regroupement familiale, on demandait une preuve administrative de (...)
20/10 17:51 - IGG
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20/10 17:45 - Candide
Votre tentative de diabolisation se détruit par son outrance. L’amalgame est misérable (...)
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