Peut-être est-ce parce qu’il faut comprendre qu’il expose les dérives possibles, les menaces qu’un tel principe propose plutot que de procéder à l’énumération de causes directes connues à ce jour...
Les tests sur les embryons, les cellules souches, la sélection des races pour l’élevage, les OGM, toutes manipulations génétiques sont autant d’exemples et sont directement issus de la problématique de modification et donc de contrôle de l’ADN et ce quelqu’en soit l’origine (animale ou végétale) avec des conséquences encore mal connues à ce jour et/ou pas nécessairement publiées (dixit les OGM et leur effet sur les plantations voisines, comme sur le corps humain...).
Ce qui est exprimé n’est donc pas tant ce qui se pose comme problème maintenant (et déjà connus) mais comme je le disais moi-même plus haut de ce qu’ils peuvent présenter comme risque pour les libertés fondamentales censément assurées par un Etat dit ’protecteur’ et qui a aujourd’hui la facheuse tendance à prêter d’avantage d’intérêt à la politique politisante, au contrôle des masses, à l’économie de marché qu’à la mission que les citoyens dans leur vote prête à leur représentants.
Encore une fois, à partir du moment où un principe est accepté, les dérives s’installent plus facilement : Ne comptez surtout pas sur l’état et sa soi-disante bonne foi (encore moins en ce moment) pour assurer avec bienveillance le contrôle des informations issues de toute la batterie de caméras de surveillance, système biométriques et autres... En remettre une couche s’est vraiment se foutre de la gueule du monde...