Bonjour la taverne.
Tu fais une campagne contre la monté des idées fascisantes à ce que je lis.
Bien venus au club car les paradigmes sont différents mais engendrent les mêmes comportements d’exclusion et ceux d’une recherche de purification. Leurs protagonistes le font en toute bonne fois au fin d’utilité publique, car s’ils avaient conscience du même paradigme ils s’en écarteraient, à moins d’être des nazis déclarés.
C’est pour cela que l’on trouve tant de commentaires qui se veulent apporter une solution à de réelles situations par une radicalité qui est souvent assimilable à ces vieux démons du rejet même par l’élimination.
Tu as juste à propos rappeler qu’il y a toujours en cela un processus de gradation qui commence par ce qui est toujours aux yeux de l’opinion le plus justifiable.
On ne choisi pas le fascisme c’est lui qui nous choisi, ce n’est pas un parti, ce n’est pas une porte que l’on ouvre, un seuil que l’on franchit en conscience.
Il s’incère dans nos raisonnements insidieusement, pas par le révisionnisme qui est trop grossier, mais par de récurant rappel à l’inefficience de ceux qui sont source de difficultés, de ceux qui ne sont pas à la hauteur de leurs fonctions, taches etc. le fascisme s’installe par le dénigrement, non la critique, c’est en cela qu’ils n’est pas facilement perceptible.
La différence s’opère sur la rancoeur qui se développe autour du dénigrement que souvent leurs auteurs prennent pour de la critique et trouvent donc leur amertume totalement justifier. Sauf que l’amertume ne développe pas de la haine, de l’animosité, de l’hostilité envers l’autre les autres sur lequel se focalise la rancœur.
La différence est que la rancœur vicie le raisonnement en réduisant la clairvoyance car elle ferme l’esprit et bloque toutes émotions qui ne la nourrissent pas et maintient son acteur dans une situation d’infériorité.
Et ce sont les situations d’infériorités qui deviennent source de problèmes.
Alors si vous désirer aller plus loin imaginer que cherche ce type de comportement et ce que cela donne s’y un candidat s’appuie dessus.
Pour qu’il n’y ai pas toujours le même cliché fatiguant avec le nazisme, le fascisme c’est développé dans de nombreux états autoritaires ou totalitaires avec diverses représentations, comme l’Espagne de franco, l’Italie de Mussolini, l’argentine, le chili d’entant, l’ex Urss et tant d’autres. Le nazisme est une caractéristique du développement du fascisme allemand basé sur la suprématie d’une race.
D’où un certain nombre de précautions élémentaires à prendre lorsque l’on s’aventure sur les différenciations de l’espèce humaine, comme dans ton article sur le prix Nobel du racisme.
Cordialement.