Voici surtout une autre preuve que vous interprétez mal des résultats.
« they were able to identify six main genetic clusters, five of which correspond to major geographic regions, and subclusters that often correspond to individual populations. »
On note d’abord que les auteurs parlent de « REGIONS GEOGRAPHIQUES » et non pas de « race ».
Encore une fois, ce n’est pas sorcier : il suffit de trouver la séquence d’ADN qui détermine, par exemple, la couleur de la peau pour identifier, selon un CERTAINE PROBABILITE, un individu qui a des origines africaines.
Notons aussi que l’échelle des zones géographiques choisies et ces zones sont arbitraires.
S’il est possible de trouver des fréquences d’ADN plus présentes en afrique qu’en europe, on peut aussi trouver des fréquences d’ADN plus présentes en Europe du nord qu’en Europe du sud. Diriez vous pour autant qu’il existe une « race d’europeen du nord » et une « race d’europeen du sud » ?
Et pourtant, on pourrait, arbitrairement, le faire et le « démontrer » avec les séquences d’ADN suivant votre raisonnement.
Je cite wiki à ce sujet :
"Pour Feldman et ses collègues, il y a ainsi trois questions distinctes :
1. « Est-il possible de trouver des séquences d’ADN qui soient polymorphes (...) et dont les fréquences alléliques (...) soient suffisamment différentes entre les grandes régions géographiques pour permettre de déterminer, avec une forte probabilité, l’origine géographique d’une personne ? » 2. « Quelle fraction de la variabilité génétique humaine trouve-t-on à l’intérieur de populations géographiquement séparées, et quelle fraction distingue ces populations ? » 3. « Les gènes dont les fréquences alléliques sont hautement spécifiques de la région géographique sont-ils typiques du génome humain en général ? »
Les réponses aux deux premières question sont bien connues : il est possible de trouver des marqueurs génétiques (gène codant des protéines ou séquences non codantes) permettant d’estimer l’origine géographique d’un individu, cependant, la plus grande part de la variabilité génétique est située à l’intérieur des groupes géographiques, et non entre ceux-ci. Ces deux réponses sont apparemment contradictoires, mais le paradoxe peut être levé par la réponse à la dernière question : les gènes dont les fréquences alléliques diffèrent d’une région à l’autre ne sont pas typiques du génome humain."
« La voici : la plupart de ceux qui prétendent sur ce fil que les races humaines n’existent pas ne sont pas de race européenne »
Au sujet de la « race europeenne » : Sortez un livre d’histoire et comptez toutes les mouvements migratoires qu’il y a eu depuis l’antiquité venant de l’EXTERIEUR de l’europe : les huns, les mongoles, les turcs, les maures.
Si ca peut vous rassurer, il y a eu aussi des mouvements dans l’autre sens, avec l’empire romain par ex.
J’aurais aimé qu’il soit possible à tous de connaître son arbre généalogique dans son intégralité sur les 3000 dernières années, je crois que certains seront surpris et on en finirait une bonne fois pour toutes avec ces conneries de « race » !
06/11 18:17 - Act
Mjolnir, Merci pour votre confimation : le racisme n’existe absolument pas. Où du moins (...)
06/11 17:15 - Mjolnir
(Tiens, cet article bouge encore) « S’il n’y a pas de races, il ne peut y avoir de (...)
06/11 16:52 - Act
Christoff_M, Bravo pour votre prise de position. Vous êtes probablement le seul à tenir un (...)
05/11 17:43 - Gilles
Vosu qui vous gargarisiait dans un précédent commentaire d’être poli... « De toute (...)
05/11 15:40 - zamzam
De mon frère en humanité , Léo Ferré : " Quand on a peur et qu’on est désarmé , on fait (...)
05/11 15:09 - fouadraiden
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