Mon cher MOMO, je ne vous pardonne pas de m’appeler LOPEZ, mais tant pis.
Si cette période m’intéresse particulièrement, c’est parce qu’elle illustre parfaitement le mensonge, la dénonciation, l’opportunisme, la monopolisation des faits, le contournement de l’histoire, la faiblesse humaine d’une manière générale. Cette période de notre histoire n’a pas fini de dévoiler ses zones d’ombre même si certains continuent à espérer que leur virginité restera à tout jamais inviolée (d’où mon allusion à un nouveau Nuremberg).
Votre article a ceci d’intéressant qu’il touche également du doigt tout ce qui peut tourner autour du secret, du camouflage et du contournement de l’histoire. Il n’est donc pas si farci que cela si on le lit avec un autre regard qu’une simple énumération de faits historiques...mais quoi demander de plus à un spécialiste de l’histoire de l’informatique.....Même si on fait de plus en plus de choses avec les bits et les octets.
Ne me prenez pas pour un demeuré, s’il vous plait, vous seriez surpris, je me délecte de toutes les contradictions et les niaiseries que je lis sur ce site, ainsi que sur les posts de vos articles. Je suis également surpris que vous vous leviez tôt pour gagner de moins en moins, avec les 35 heures vous auriez plus de temps pour écrire, publier, et ainsi recevoir des royalties sur vos ouvrages. Alors pourquoi continuer à écrire gratuitement sur ce site qui ne donne rien, révoltez-vous, halte à l’esclavage, faites grève, c’est à la mode en ce moment. Regardez, faites le calcul, tout ce temps passé à philosopher sur la résistance de l’histoire de l’informatique sans rien en retour, moi au moins je m’accorde de temps en temps une petite récréation sur AGORAVOX et puis hop ! Voilà je repars faire du business pour gagner de plus en plus comme l’a demandé le président. Aujourd’hui je suis à l’étranger, demain aussi, après demain encore et encore. Je paie des impôts pour que vous puissiez tranquillement profiter de votre ordinateur de bobonne et du site AGORAVOX. Mais je ne me plains pas car j’aime ça.
Allez sans rancune, votre article était au moins facile à lire.