Je dois avouer que ma compétence en l’affaire est nulle.
Ayant toutefois dirigé des équipes dans des associations plus ou moins sérieuse, je ne peux m’empêcher d’en tirer une leçon. Un sermon ne doit jamais se faire en public (je viens d’apprendre le sens exact de stigmatiser, merci Mr. Villach), ceci pour des raisons évidentes :
- éviter de mettre mal à l’aise son subalterne vis à vis des autres et le placer ainsi en position d’infériorité vis à vis de ses collègues/clients (donc ici les parents d’élèves si j’ai bien compris). Comment espérer que celui-ci retrouve sa place ?
- une erreur d’un employé reflette de sa propre erreur. C’est mettre en doute ses compétences et montrer publiquement son inefficacité à gérer une équipe, sauf cas exceptionnel bien sur.
De cet exemple, on peut conclure que le manager a donc pour leçon d’apprendre le premier point, le droit d’un homme à ne pas être humilié, à pouvoir remonter la pente. En second lieu, la discrétion qui est pour tout le monde le meilleur moyen d’agir. La solution publique (tribunal) étant une solution ultime...
Vous l’aurez remarqué, je n’ai pas utilisé la solution publique, confrontation avec les « clients », qui pour moi n’a pas lieu d’être. Elle peut relever d’un acte de vengeance comme d’un acte d’écrasement pour ambition personnel (je ne trouve pas le terme exact, toutes mes excuses) ou encore d’autres actes relevant de tout, sauf de la justice ou encore d’un bon management.
Espérons donc que cette abération n’aura pas lieu : rendez vous le 14 novembre.
PS : j’ai utilisé un cas général, en utilisant un langage orienté « services », dans le sens où le secteur privé devrait être soumis aux mêmes règles qu’est encore le secteur public. L’administration étant omniprésente dans notre société.