Commentaire de morice
sur Ridiculisés par Romain Gary en 1975, les prix littéraires ont la vie dure
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Certes, mais le choix de Pennac pour le Renaudot prouve qu’ils peuvent encore faire quelque chose pour la littérature : faire parvenir le plus grand nombre au plaisir de la lecture. Et Pennac, dans ce sens est le prototype idéal (et pas le Goncourt de l’année précédente, trop... indigeste).
Derniers commentaires
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10/11 10:59 - docdory
Cher Paul Villach Ci joint quelques références internétiques sur ce tableau blanc , qui était (...)
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08/11 18:57 - Lieutenant-Colonel Honoraire(! !)de Gendarmerie Jean-Michel BEAU
La démonstration par les leurres fait évidemment « mouche ». Nous n’avons ni les uns ni (...)
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08/11 15:36 - Paul Villach
Cher Docdory, j’adore votre finesse d’analyse qui pétille d’intelligence. (...)
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08/11 13:56 - docdory
@ Paul Villach On pourrait comparer ces prix littéraires aux tests comparatifs entre les (...)
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08/11 11:46 - docdory
@ Aegidius Rex J’ai lu attentivement votre lien consacré aux fautes de français commises (...)
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07/11 20:47 - La mouche du coche
« ils peuvent encore faire quelque chose pour la littérature : faire parvenir le plus grand (...)
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