Commentaire de
sur Le Facebook du pire
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« le maniaque sexuel est aussi une victime, différemment. »
L’auteur n’a rien compris. Tant que vous penserez que la foule cherche la « vengance », vous ne comprendrez pas.
On se fout de savoir si le maniaque est une victime, ou non. Nous cherchons juste à nous en protéger. C’est comme un chien qui a la rage. On va s’en isoler pour ne pas en être victime, et c’est tout. Il ne s’agit pas de le juger, de lui « pardonner », de le « comprendre ». Il s’agit juste de ne pas le subir. Alors après, si vous trouvez le moyen de le soigner, très bien, mais c’est votre boulot, pas le nôtre.
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13/11 12:21 - stephanemot
@yves je n’en suis pas au stade où je quitte FB, qui demeure plus « sain » que MySpace. (...)
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13/11 10:46 - seespan
@ morice Plus que la soit disant protection des victimes ( phenomene qui concerne plus les US (...)
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13/11 10:36 - morice
Microsoft, bien maqué avec le Homeland Security a donc tout intérêt à fondre sur FaceBook. (...)
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13/11 09:25 - seespan
@ sz Il ne me semble pas que l’auteur dise que tout coupable qui aurait etait victime de (...)
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13/11 08:25 - Sz
@ seespan « Ce n’est pas comme ça que réagit l’appareil judiciaire. » Euh, oui, (...)
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13/11 08:22 - seespan
Ce n’est pas plus notre boulot de soigner un delinquant, que le votre de vous « proteger (...)
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