@Christophe
Mais Wywy ne méprise pas son prochain, il ne traite pas de lache l’homme qui renonce a ses rêveries pour subvenir a ses besoins et ceux des siens. Car il sait que comme lui, des millions et des millions d’autres femmes et hommes sont ainsi et il se sent plus proches de ceux que vous nommez lâche, que moi j’appel braves, que de ceux qui se sachant courageux, prennent en otage les lâches, pour satisfaire leurs revendications.
Wywy pense que si le courage social consite a défendre ses propres intéret en allant a l’encontre d’un plus faible que lui. Il ne peu décemment pas appelé cela du courage mais de l’ethnocentrisme. Alors, il préfère être dans le camp des lâches. Il préfère encore renoncer a cette dignité pour peu qu’il lui en reste et fouiller dans des poubelles pour s’y nourir, que de voler, tué, menacé, brutaliser son prochain pour y parvenir. Parce qu’il sait tout lache qu’il est, que si il agissait ainsi, il ne ferait pas que renoncer a sa dignité d’homme. Il l’a perdrait définitivement. Il s’abaisserait au rang plus bas que miséreux.
Autrement Wywy se demande pourquoi ces braves qui empêchent le lache qu’il est d’aller travailler pour subvenir a ses besoins, sont incapables de mettre en avant des modes de protestation créatif et réellement innovant, comme rendre les transports gratuits pour tous ses usagers, mais il est vrai que c’est interdit par la loi et transgresser une loi qui ne gênerait que les plus riche, ca réclamerait une certaine dose de courage a des non libéral qui eux savent assumer leurs actes et responsabilités.
Mais non, dans le fond il est tellement plus simple de la faire assumer a ceux qui ne peuvent se défendre. La liberté telle que vous la pratiquez est ainsi, elle consiste surtout a faire assumer a d’autres ce que vous êtes et ce que vous faites. Je n’en veux pas de cette liberté, je la quitte, je préfère être esclave, que libre de cette manière. D’ailleurs n’oubliez pas vos classiques, relisez Platon qui nous apprend qui du maitre et de l’esclave est vraiment l’esclave de l’autre.