Commentaire de caraïbe
sur « J'ai goûté à l'insouciance et la violence de la rue... »
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Il y a peu de chance que l’on aborde cet homme : on le regarde au mieux, on détourne son regard gêné de ce regard humilié.
Car c’est aussi notre humiliation de l’avoir laissé arriver là : ne pas se sentir concerné, oublier.
Se dire qu’on aurait pu être lui, puisque tout est normal.
Il est facile d’oublier ces hommes d’un instant, jusqu’au jour où votre environnement vit cette déchéance : on voit les repères basculer, tout progressivement se dégrader.
On s’étonne, on pense à l’exception.
Mais quand cet évènement se répète, on ne s’interroge plus, on cherche des responsables, ailleurs.
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23/11 21:11 - MadmoiZelle Tshé
Bonsoir à tous, Tout d’abord je tiens à vous remercier de l’ensemble de vos (...)
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21/11 20:24 - caraïbe
@ VIEUXCON, petite chronique d’une déchéance ( retour au réel ) : La misère installée (...)
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21/11 15:48 - caraïbe
Ce n’est pas tellement la peur de l’autre ni une hostilité liée aux écarts de (...)
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21/11 15:05 - caraïbe
Et si on les laissait s’exprimer au lieu de parler en leur nom sur l’hymne national (...)
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20/11 15:01 - Emile Red
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20/11 10:49 - Gasty
@ Satan’s Tango Je vous renvoi aux commentaires instructifs au sujet de cet hymne (...)
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