@masuyer
Il n’est pas nécessaire d’aller chercher le Maréchal.
L’aimable Romano Prodi souhaite en ce moment même chasser les Roms de son royaume, ce que je trouve trés amusant et qui montre bien à qui on a à faire avec l’UE. En effet, ce brave Romano a été si mes souvenirs sont bons, Président de la Commission Europénne, grand défenseur des Droits de l’Homme et promoteur de l’élargissement sans limite de l’UE. A cette époque il n’a pas eu la capacité mentale d’imaginer les problèmes à venir pour son propre pays.
C’est pourtant ce genre d’individus qu’on continue à pousser en avant. Les phrases qui commencent par « Il n’y a qu’au niveau européen qu’on pourra.... » me font plutôt sourire quans on voit ce qui se passe. Cette UE est un repoussoir.
La critique du Maréchal vient de ce qu’on veut absolument faire croire que ce genre de mesures est nécessairement de droite et fachiste, alors que les faits récents montrent que c’est une position socialiste. Romano Prodi ne fait partie des descendants de Mussolini mais du Parti Socialiste Italien. D’ailleurs, il n’y avait pas plus anti-nazi que le Maréchal. Le collabo dans l’histoire était le socialiste Pierre Laval, chef du gouvernement, que le Maréchal a fini par démettre et qui est revenu à son poste de force sous l’autorité nazie.
Rendons à César ce qui est à César. La collaboration est avant tout une affaire communiste et socialiste. Le communiste Thorez appelait les militaires français à déserter si les allemands attaquaient la France. Le PCF a travaillé pour les nazis jusqu’en 1942. Georges Marchais était même engagé volontaire dans les usines Messerschmidt.