à la base l’économie est un outil qui sert à transformer la matière première sans trop vouloir généraliser. De ce point de vue global on peux en effet faire quelques rapprochements avec des lois naturelles, puisqu’elles vont dépendre de nos différents instincts.
oui, mais quelles lois ? on peux penser loi de la jungle, ou plus communément appelée darwinisme dans le sens loi du plus fort ou égoisme comme le dit l’auteur. Cette théorie a permis aux financiers depuis 10, 15 ans de justifier délocalisations ou compétitivité, sans rechercher forcément la création, les nouveaux concepts naissent plus souvent dans les PME et start-up que dans les corporations (qui ont plus de moyens).
Mais la nature est bien plus variée, il est vrai que les espèces vivantes se bagarrent souvent mais il y a aussi beaucoup d’exemples d’entre-aides mutuelles.
Prenons l’homme, ce n’est pas un hazard que les premières civilisations, donc les premières économies, systèmes politiques ect .., sont apparus dans le moyen orient (iran-irak), en effet la région était riche en blé et surtout il y avait la présence de nombreux animaux domestiquable (porc, bovin ect...), la région des andes ou du mexique n’a pas pu se dévelloper de la même façon car pas de bétails utilisables pour les travaux agricoles. C’est bien la coopération mutuelle qui a permis à l’homme de batir des civilisations performantes et aux chevaux, bovin, ... de survivre.
L’auteur parle d’égoisme comme moteur d’économie, on pourrait dire plus précisement d’instinct hiérarchique, mais ce n’est pas une fatalité, l’instinct de survie peux faire partie du moteur. La femme étant plus « sensible » à cet instinct, elles devraient en toute logique être plus présente en politique et au siège des coorporations, je parle des Femmes avec un grand F, pas de miss Maggie ou Pat Russo (Alcatel).
Alors quoi aprés ? comme dit actias.
Si l’économie actuelle date de la renaissance (en généralisant), l’idée a pu émergé suite à la révolution copernicienne.
Bref tant que l’humanité n’est pas dans une situation de crise (problèmes écologiques ? guerres bactériologiques ? ...) ou qu’on assiste à changement radical de notre façon de voir le monde (crises spirituelles ? découvertes scientifiques ? ...), il n’y pas de raison que ça change. Je rejoint l’auteur sur la prise de concience plus qu’urgente, qui sait, ça passera peut être par le matriarqua de nos sociétés ?