Ce n’est pas le « roi occidental » qui est nu, c’est Fouadraiden, qui est un réfugié chez nous car il n’a pas pu rester dans son pays d’origine, où il aurait crevé de faim !
L’immigration massive des populations d’Afrique du Nord se fait vers l’Europe, et la population d’Europe n’émigre pas vers l’Afrique du Nord. Pourquoi dans un sens et pas dans l’autre ?
Devinez !
Il est assez amusant de voir les peuples « décolonisés » se précipiter en courant pour venir se réfugier chez leurs anciens colonisateurs. Ces gens désertent leur propre indépendance ! Curieux, non ?
Alors il ne faut pas non plus transformer en invasion victorieuse ce qui est une fuite et un sauve-qui-peut. Et le problème de ses immigrants est qu’ils s’aperçoivent aujourd’hui qu’il ne suffit pas de fuir de chez soi et de s’installer chez les autres par effraction pour y être accepté.
Une de ces prochaines émeutes permettra de les foutre tous dehors encore plus vite qu’ils ne se sont installés, qu’ils ne s’inquiètent pas pour si peu !
L’affaire sera rondement mené dès qu’elle aura été décidé en haut lieu et la colère qui gronde déjà dans le pays incitera nos élites à l’action plus vite qu’on ne le pense.
Le Sud est tout simplement entré dans un processus de désintégration car il a échoué dans son développement, qui était pourtant bien nécessaire, contrairement au reste du Monde y compris l’Asie qui rejoint le monde civilisé à marche forçé.
Il y a plus encore : La disparition progressive des rentes de matières premières, qui permettent à certains d’entre eux de faire encore illusion, accélérera ce phénomène de désintégration, dont il faudrait être très optimiste pour croire qu’il se déroulera sans que coule, là-bas, des flots de sang.
Ce qui leur pend au nez c’est l’expulsion d’Europe des immigrés inassimilables dont les européens ne veulent plus. A quoi s’ajoutera une mise sous tutelle de ces populations dans leurs pays d’origine, sur fond de misère et de soubresauts violents.
Nos conquérants sont des clochards en guenille qui nous tendent une sébille. Nous n’avons rien à leur donner, ils se rebiffent, et nous allons les chasser car le moins que nous pouvons dire est que nous ne leur avons rien demandé et que nous leur avions accordé l’indépendance pour ne plus les avoir à notre charge et pour qu’ils se débrouillent tout seul comme des grands !