Démographie et immigration : suicide collectif des Européens ?
La Commission européenne a présenté le 23 octobre 2007 son projet de « carte bleue » qui doit faciliter l’immigration en provenance d’autres continents. Les peuples premiers européens (la définition est donnée plus loin) sont en voie de disparition. Les dirigeants politiques européens mettent officiellement en place le processus de remplacement des populations spécifiquement européennes par des immigrés en provenance d’autres continents. Pour les dirigeants politiques européens la préservation des Européens d’origine n’est pas prioritaire.
Tout d’abord une précision de terminologie. Le peuple premier est le peuple le plus anciennement reconnu comme habitant sur une zone géographique. L’expression « Européen d’origine » est utilisée dans ce sens. On peut également utiliser des expressions ou des termes équivalents ou synonymes : peuples autochtones, premières nation, autochtones, etc. Ces termes ou expressions de langue française sont couramment employés par les instances officielles au Canada [1] (voir les notes en fin de l’article). Dans le présent article les Européens autochtones sont également appelés Blancs européens [2].
Dans le titre de cet article - « Démographie et immigration : suicide collectif des Européens » - les Européens sont les Européens d’origine et la démographie qui conduit au suicide collectif est la démographie défaillante des Européens d’origine alors que l’immigration qui contribue à la disparition des Européens d’origine est l’immigration en provenance d’autres continents.
Le présent article risque de vous paraître provocant. Certains estimeront qu’il contient des propos qui ne sont pas « politiquement corrects ». Il met en évidence le fait que l’immigration en provenance d’autres continents d’une part change fondamentalement les valeurs traditionnelles dominantes en Europe, et que d’autre part à terme cette immigration extra-européenne contribue à l’extinction des Européens autochtones.
Je me permets parfois d’écrire dans le sens qui peut contrarier l’opinion généralement affichée dans la société européenne actuelle ou du moins l’opinion qui domine dans les médias et dans les cercles qui tiennent les commandes du pouvoir politique et économique. Mais si tous les citoyens ne disaient qu’uniquement ce que l’opinion dominante leur suggère de répéter il n’y aurait pas de débats.
Il est certain que le présent texte n’exprime aucune haine. Au contraire. Le présent article au contraire appelle à préserver les diversités de l’humanité et dans ce but appelle notamment à sauvegarder les Européens d’origine qui sont porteurs d’une civilisation qui leur est spécifique et qui sont menacés d’extinction imminente. Le présent article se préoccupe du droit à la survie des Européens d’origine et demande que cette branche de l’humanité ait le droit de poursuive son évolution en préservant sa spécificité.
C’est sous le terme de « civilisation » que l’on regroupe un ensemble déterminant des spécificités qui caractérisent une société humaine. La question que l’on peut se poser est de savoir si on a le droit d’exiger : « Ne touchez pas à ma civilisation ! ».
Si je demande le droit d’être différent de mon voisin cela ne signifie pas que je suis hostile à sa différence : il peut chez lui garder sa différence, mais je ne souhaite pas qu’il m’impose chez moi des changements. Je veux pouvoir garder ma différence et je veux pouvoir évoluer selon mes spécificités. Si sa différence me plaît, je peux cherche à suivre son exemple pour devenir comme lui. Mais uniquement si je le décide. Si je préfère ma différence, je la garde, je la fais évoluer selon ce qui me convient et je souhaite que le voisin ne m’impose pas des changements selon son bon plaisir.
Vous l’avez compris : cette question a un lien avec la celle de l’identité. La notion de l’identité d’un groupe humain pourrait être résumée comme étant la moyenne des caractéristiques que portent les individus de ce groupe. Certains citoyens réfutent l’existence de l’identité de groupe alors que d’autres disent que l’identité de groupe est une évidence, une réalité que chacun peut constater. En démocratie toutes les opinions doivent être permises et la liberté d’expression doit être garantie.
Les groupes humains variés, avec des différences culturelles, avec des comportements et des apparences variées, porteurs de civilisations spécifiques, sont une richesse de l’humanité.
L’auteur du présent article a constaté que le groupe des Européens autochtones est en danger d’extinction imminente à l’échelle de l’Histoire, d’ici cent à cent cinquante ans, par conséquent l’auteur souhaite que tout soit fait pour préserver ceux qui sont en position de faiblesse : les Européens autochtones. Les Européens autochtones sont porteurs d’une civilisation, laquelle résulte d’une évolution millénaire, et le remplacement de cette branche de l’humanité par des immigrants venus d’autres continents conduit à la disparition de la civilisation dont sont porteurs les Européens autochtones.
Insistons : le présent article appelle à préserver les diversités de l’humanité, dans tous les sens du mot diversités, y compris la diversité des civilisations.
Avant d’aller plus loin, la précision suivante est nécessaire : tous les chiffres énoncés dans le présent article proviennent exclusivement des documents publiés par les organismes internationaux, notamment par l’ONU. Toutes les sources sont détaillées plus loin.
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- DÉMOGRAPHIE ET MIGRATIONS INTERCONTINENTALES : SUICIDE COLLECTIF DES EUROPÉENS D’ORIGINE.
D’après les projections démographiques, si les tendances actuelles sont maintenues (faible natalité des Européens autochtones, forte immigration en provenance d’autres continents), la population sur le continent européen sera en 2100 composée d’un tiers d’habitants d’origine européenne (les Européens autochtones) et de deux tiers d’habitants d’origine non-européenne. En 2100, il y aura sur le continent européen 170 millions d’Européens autochtones dans une population de 520 millions d’habitants au total. Cela signifie aussi qu’en Europe de l’an 2100 la civilisation d’ascendance culturelle européenne, dont sont porteurs les Blancs européens, sera remplacée par une autre civilisation.
La Commission européenne a présenté le 23 octobre 2007 son projet de « carte bleue ». L’objectif matérialisé par cette carte de séjour commune aux États membres de l’Union européenne, appelée « carte bleue », est de mieux ouvrir les portes à l’immigration en provenance d’autres continents [3]. Le but officiellement affiché est de combler le manque de main-d’œuvre qualifiée. Le but non affiché est de combler le déficit démographique de l’Union européenne et de l’Europe en général. Les dirigeants politiques européens prétendent qu’il n’y a pas d’autre solution, que la société européenne moins nombreuse ne peut pas survivre. Est-ce vrai ? La réponse est : ce n’est pas vrai, d’autres solutions existent, elles sont mentionnées plus loin dans le texte.
Pourquoi, poussés par qui, les dirigeants européens ont-ils choisi de mettre en place la politique de remplacement des populations européennes autochtones par des immigrés non-européens ? Les groupes de pressions sont essentiellement de deux sortes.
Il y a d’abord les groupes de pression organisés au sein d’institutions internationales, telles que l’ONU, qui - comme cela est détaillé plus loin dans le texte - poussent à installer sur le continent européen la masse croissante des Africains. Du point de vue de ces dignitaires des institutions internationales, l’organisation des flux migratoires toujours plus forts d’Afrique vers l’Europe est la solution idéale pour résoudre l’incapacité des Africains de se prendre eux-mêmes en charge, et notamment est d’après eux la solution idéale pour résoudre les problèmes africains induits par l’incapacité des Africains de brider leur natalité, laquelle est devenue la cause principale de leur pauvreté.
Il y a aussi les lobbies qui représentent les très gros intérêts économiques privés, qui ont intérêt à maintenir un haut niveau d’activité économique en Europe afin de continuer à s’assurer un haut niveau de profits et pour cela veulent une forte immigration non-européenne. Dans le but d’accroître encore la richesse de quelques cercles restreints, les lobbies ont poussé les dirigeants européens à mettre en place une politique d’immigration, qui permettra d’importer en Europe plus de 10 millions de nouveaux immigrés par an.
Les premiers rapports de l’ONU, qui osaient présenter ouvertement le plan de la « migration de remplacement », étaient en quelque sorte des ballons d’essai : ils estimaient les « besoins » en immigrants non-européens à « seulement » 4,5 millions par an. C’était à la fin du XXe siècle. L’objectif chiffré le plus récent que l’ONU à fixé pour l’Union européenne est en progression forte : 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe. Cet objectif chiffré peut vous sembler incroyablement élevé, mais je dois rappeler que les sources de tous les chiffres donnés dans l’article sont précisées soit au fil du texte soit dans les notes en fin de l’article et que donc les lecteurs peuvent vérifier eux-mêmes la véracité de tous les chiffres donnés.
La « carte bleue », mise en place par la Commission européenne, permettra d’atteindre les objectifs définis dans les rapports de l’ONU en régularisant le très fort flux d’immigration non-européenne qui est programmé dans les prochaines décennies. Le plan consiste à faire venir massivement les immigrés en provenance d’autres continents sous prétexte officiel qu’il faut pourvoir les postes de travail. Cela permettra accessoirement de maintenir la pression baissière sur les revenus du salariat européen et sur le niveau de protection des salariés dans droit de travail européen. Les immigrés en provenance d’autres continents, qui seront donc invités par ceux qui dirigent les pays européens à occuper de nombreux types de postes de travail, les immigrés qu’on appelle aussi « l’immigration qualifiée », seront autorisés de faire immigrer leurs membres de famille, actuels ou futurs, les ascendants, les conjoints et les descendants, naturels ou adoptifs, en appliquant le « droit au regroupement familial », puis dès la naissance d’un enfant en Europe, en appliquant le « droit de sol », à s’enraciner avec leurs familles sur le sol européen. Ce système législatif permettant une gestion souple de l’immigration non-européenne a été mis en place dans les États membres de l’Union européenne de façon progressive, pas à pas, au fil des ans.
Les choix politiques concernant l’immigration ne peuvent désormais plus être limités à la France. Les frontières internes ont disparu dans l’Union européenne. En l’état actuel des traités fondamentaux de l’Union européenne, qui transfèrent des parts importantes de la souveraineté des États membres au niveau des instances politiques de l’Union européenne, les décisions politiques concernant l’immigration en provenance de l’extérieur de l’Union européenne ne peuvent être prises qu’au niveau de l’Union européenne. Le traité d’Amsterdam, signé le 2 octobre 1997 et entré en vigueur le 1er mai 1999, a transféré à la Commission européenne à Bruxelles et au Conseil de l’Union européenne statuant à la majorité qualifiée, la quasi-totalité des pouvoirs en matière d’immigration. C’est dans ce contexte que la Commission européenne a le 23 octobre 2007 mis en route son projet de « carte bleue ». Pour cette raison, le présent article situe le débat au niveau de l’Europe.
L’article ne se limite pas à la seule question du remplacement des populations autochtones européennes. Les Européens d’origine sont porteurs d’une civilisation, leur replacement conduit aussi au remplacement de leur civilisation par une autre civilisation.
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- AVANT LA DICTATURE DU MONDIALISME ON POUVAIT IMAGINER QUE LES CIVILISATIONS POURRONT COEXISTER.
La civilisation est l’ensemble des phénomènes sociaux, religieux, intellectuels, artistiques, scientifiques et techniques d’une société. Une population est porteuse d’une civilisation qui est le résultat de son histoire. Lorsque sur un territoire une population est remplacée par une autre population aux références culturelles ou morales différentes, la continuité de l’évolution de la civilisation présente sur ce territoire est interrompue : sur ce territoire une civilisation est morte et est remplacée par une autre civilisation.
« Les civilisations meurent par suicide, non par meurtre » [4] et c’est ce qui est en cours en Europe en ce moment. Le mondialisme et ses collaborateurs cherchent à y parvenir - leurs appels à l’ouverture de l’Europe et au mélange généralisé sont des incitations au suicide.
Certains citoyens européens sont d’accord pour favoriser l’extinction et le remplacement de la population européenne autochtone, d’autres citoyens y sont opposés. En démocratie chaque décision doit être prise selon la volonté exprimée par la majorité des citoyens qui se sentent concernés et la complète liberté d’opinion doit être permise.
La marche forcée selon les préceptes idéologiques du mondialisme est un choix imposé par ceux qui gouvernent et par les groupes de pression qui les entourent. Ce n’est pas un choix démocratique.
Il ne faut pas confondre d’un part la mondialisation (qui est la mise en application d’une idéologie qu’est le mondialisme) et d’autre part les échanges qui à d’autres époques ont existé entre les groupes humains.
Avant de connaître le mondialisme, avant même de savoir que cette idéologie pourrait être imposée aux populations européennes, on pouvait imaginer que les civilisations, les cultures, les groupes humains, les ethnies, les peuples pourront continuer à évoluer en coexistant chacun sur son territoire. Avant la dictature du mondialisme, les Européens autochtones pouvaient se projeter dans l’avenir, ils pouvaient imaginer leur descendance existant dans la civilisation européenne du futur, une civilisation qui évoluerait tout en restant spécifique, différente des autres.
Le mondialisme pousse au mélange. Le mélange ne conduit pas à la coexistence des différences, mais à l’uniformisation. Un territoire déterminé, son propre territoire, sur lequel un groupe humain est capable de s’organiser souverainement, selon ses propres croyances - et en démocratie cela signifie selon les croyances de la majorité de la population - est la condition nécessaire permettant l’évolution spécifique à ce groupe humain. Ici interviennent les notions de souveraineté, de démocratie et du droit à sa propre civilisation.
La civilisation européenne est une réalité, mais une réalité fragile, objet des attaques. À présent, alors que l’idéologie mondialiste se dévoile clairement, et s’impose contre la volonté majoritaire de citoyens européens, on constate par les faits que son projet final n’est pas la coexistence des groupes humains, mais un mélange uniformisateur, à la fois biologique et culturel. Dans le mondialisme, il n’y a plus d’avenir pour les Européens autochtones.
Cependant tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir. Des événements pourraient se produire qui arrêteraient les tendances mondialistes.
Le suicide européen n’a pas encore abouti, des événements inattendus peuvent se produire, les citoyens européens peuvent encore intervenir : en inversant les tendances il est encore possible d’éviter l’extinction des Européens autochtones et de la civilisation dont ils sont porteurs.
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- LES EUROPÉENS AUTOCHTONES ET LEUR CIVILISATION : ÊTRE OU NE PAS ÊTRE.
Les humains ont le droit d’exister sur cette planète. Les humains ont le droit d’exister dans leur diversité. Les Noirs, les Moyen-Orientaux, les Nord-Africains, les Extrême-Orientaux et les autres, tous les groupes humains, les ethnies, les peuples, quels que soient les noms qu’ils se donnent ou qu’on leur donne, tous ont le droit de prolonger leur existence en préservant leurs spécificités. Les Blancs européens aussi. Cependant les Blancs européens agissent actuellement de manière à aller vers l’extinction. Cela semble être leur choix collectif, mais en vérité c’est, comme vous l’avez certainement compris, plutôt un choix qui leur est imposé. Imposé par qui et pourquoi - cela a été brièvement énoncé en début de l’article et c’est expliqué de façon détaillée dans la suite de l’article.
À la remarque ci-dessus - que les Blanc européens ont aussi le droit d’exister - il peut à première vue être légitime de rétorquer que s’inquiéter de savoir quelle proportion de la population en Europe sera dans l’avenir encore composée d’Européens autochtones est déplaisant. Avoir ce genre d’inquiétude est considéré d’autant plus antipathique surtout en France, où depuis quelques décennies le mélange est une doctrine officielle.
Je rappelle que vouloir qu’un groupe humain spécifique, par exemple une ethnie, survive, est légitime. Par exemple les peuples premiers au Canada cherchent à préserver leur existence, ils le revendiquent officiellement et personne ne condamne leurs revendications. Les peuples premiers aux États-Unis d’Amérique cherchent à préserver leur existence, ils le revendiquent officiellement et personne ne condamne leurs revendications. Les Noirs français demandent sur la scène publique, depuis des années, que leurs intérêts soient préservés (cela est détaillé plus loin dans l’article) et personne ne condamne leurs revendications.
Mais l’enjeu du suicide en cours est double. Car la question de l’extinction des Européens d’origine est liée à la question d’une autre extinction. Il faut être conscient, il faut sans cesse le rappeler, que la question de l’extinction des Européens autochtones, qui est une question de suicide collectif des peuples premiers européens, entraîne la disparition par le suicide de leur culture, de leur civilisation.
Deux facteurs agissent de façon conjointe pour pousser les Blancs européens vers la disparition : le premier facteur est la trop faible fécondité des populations européennes autochtones et le deuxième facteur est le mondialisme qui favorise les très forts flux migratoires intercontinentaux en direction principalement de l’Europe. La faible fécondité provoque la baisse accélérée des populations européennes autochtones qui s’approchent ainsi de leur disparition. Leur disparition mène à la disparition de leurs valeurs culturelles, philosophiques ou morales, issues entre autres de leurs références religieuses traditionnelles. Le contexte du mondialisme, avec les très forts flux migratoires intercontinentaux, favorise la propagation de l’islam jusqu’à Copenhague, Rotterdam, Manchester, Paris, Londres, Lyon, Rome, Bruxelles, Los Angeles, Ottawa... Les populations nouvellement installées en Europe apportent leur propres valeurs culturelles, philosophiques ou morales, issues entre autres de leurs références religieuses traditionnelles qui sont celles de l’islam. Ces immigrés venus d’autres continents ne viennent pas renforcer la civilisation européenne, mais au contraire viennent la remplacer par une autre civilisation.
Les valeurs auxquelles se réfère un peuple sont le résultat d’un héritage culturel, d’une transmission des croyances entre les générations. Les immigrés non-européens en Europe sont très majoritairement musulmans. Si les tendances migratoires actuelles sont maintenues, alors les Européens du futur seront très majoritairement d’origine non-européenne et très majoritairement attachés à l’islam. Les valeurs de référence des Européens, la culture européenne, l’identité des Européens, leur civilisation, seront le reflet de la nouvelle majorité de la population qui sera d’origine non-européenne et musulmane.
Ces changements sont en cours et aboutiront en quelques dizaines d’années. La rapidité de ces changements et leur impact fort sur les valeurs de référence des Européens, sur la culture dominante en Europe, créeront des tensions entre d’un côté ceux, parmi les Européens autochtones, qui voudront prolonger leur lignée et maintenir la domination de leur héritage culturel sur le continent européen, et de l’autre côté les immigrés en provenance d’autres continents, qui voudront imposer leurs règles.
Le présent article expose de façon factuelle la situation et demande que des mesures soient prises pour éviter les tensions et les conflits qui découleront de cette migration de remplacement qui est imposée aux citoyens européens de manière antidémocratique, c’est-à-dire qui a été décidée et mise en place contre la volonté de la majorité des Européens.
Les mesures, c’est-à-dire les actions concrètes, que demande le présent article doivent s’appuyer sur les choix démocratiques que doivent exprimer clairement les Européens actuels :
- Si les Européens autochtones ont choisi de disparaître avec leur civilisation en laissant la place à d’autres branches de l’humanité, alors tout doit être organisé afin de faciliter le remplacement sans heurts par les immigrants non-européens.
- Si les Européens autochtones souhaitent se maintenir et souhaitent prolonger leur civilisation sur le continent qui constitue leur habitat naturel, alors tout doit être organisé afin d’éviter leur extinction.
Par exemple, il doit être permis aux citoyens européens de prononcer les deux phrases suivantes : « Les Blancs européens doivent disparaître au profit du métissage global des habitants de la planète car cela doit faire disparaître les conflits ethniques. L’existence des religions diverses est source de conflits, donc la disparition des religions chrétiennes contribue à la disparition des conflits entre groupes humains ». Ces phrases sont souvent prononcées en Europe occidentale, par exemple en France, de façon ouverte ou de manière sous-entendue, notamment dans le contexte des programmes scolaires, dans les médias et par la majorité des politiques au pouvoir depuis les 40 dernières années.
Si l’opinion qui est résumée dans le paragraphe précédent est répandue parmi les citoyens européens, notamment dans la partie occidentale du continent, c’est parce que la population a été depuis des décennies éduquée dans l’idée que le métissage des groupes humains - par exemple les ethnies - et le métissage des cultures sont des évolutions positives et que l’uniformisation de l’humanité doit être l’idéal à atteindre.
Cependant l’auteur du présent article prend la position de la défense de la biodiversité, de la défense de la diversité des civilisations et de l’évolution de l’humanité dans le respect des spécificités - culturelles et autres - qu’ont fait apparaître les groupes humains au cours de leur histoire.
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- DÉMOGRAPHIE EUROPÉENNE : LE SUICIDE COLLECTIF EST EN COURS.
Je connais les réactions habituelles des lecteurs, réactions d’incrédulité ou de refus devant les évidences, pour cette raison j’insiste encore une fois sur le fait que toutes les données chiffrées sur les évolutions démographiques des populations, selon les régions de la planète, qui figurent dans le présent article, sont des données officielles qui proviennent exclusivement des documents publiés par les organismes internationaux. Les liens qui figurent en fin de l’article fournissent au lecteur les moyens d’effecteur non seulement toutes les vérifications d’exactitude sur les chiffres énoncés dans le présent article, mais aussi de constater la convergence de ces études et de ces prévisions effectuées sur l’évolution démographique des populations sur l’ensemble des régions de la planète.
En 1900, l’Europe avait 450 millions d’habitants et l’Afrique 130 millions.
En 2000, l’Europe avait 720 millions d’habitants et l’Afrique 780 millions.
En 2100, l’Afrique aura 2200 millions d’habitants.
En 2100, si l’immigration depuis les autres continents continue, et si la natalité des Européens d’origine, c’est-à-dire des Blancs européens, reste à environ 1,4 enfants par femme, l’Europe aura :
- 520 millions d’habitants au total, dont
- 170 millions d’habitants d’origine européenne, c’est-à-dire des Blancs européens.
Pendant des siècles et des millénaires, les populations sur le continent européen se sont mélangées de manière permanente, et c’est un mélange à l’intérieur d’une branche particulière de l’humanité qui s’est développée sur le continent européen.
Quelques incursions depuis l’Asie ont menacé l’homogénéité de cet ensemble, mais elles ont été globalement limitées. Ces incursions des Asiatiques étaient surtout des conquêtes militaires qui n’avaient pas pour objectif la migration des peuples et qui ont résulté globalement en une très faible quantité d’introduction de populations de non-Européens parmi les Européens. La dernière incursion de ce genre était celle des Turcs, ou plutôt il faut parler au présent puisque l’État des Turcs s’est maintenu jusqu’à aujourd’hui sur une partie du continent européen.
Il faut bien insister qu’excepté quelques incursions limitées depuis l’Asie, les populations d’origine européenne se sont mélangées entre elles et ce mélange, isolé des autres grands groupes humains, a formé la branche européenne de l’humanité. Au fil des millénaires une identité est ainsi apparue, associée à une identité culturelle, puis religieuse.
Les Européens d’origine appartiennent à une branche de l’humanité qui s’est développée sur l’aire géographique qui va de Lisbonne, sur les bords de l’océan Atlantique, à travers l’ensemble du continent européen, et qui en passant au nord de la mer Noire et de la mer Caspienne, s’étend jusqu’à Vladivostok, sur les bords de l’océan Pacifique. Notons que cette aire géographique devrait être la possible limite finale de l’expansion de l’Union européenne [5].
Une digression très brève : le mondialisme vise à uniformiser l’humanité, mais actuellement on est fondé à croire que le mélange ne se produira peut-être pas dans toutes les régions de la planète. En effet, le continent Africain n’est pas un territoire qui reçoit de forts flux d’immigration en provenance d’autres continents. C’est au contraire un territoire de forte émigration dirigée quasi exclusivement vers l’Europe. L’Extrême-Orient asiatique est dans le même cas : le territoire chinois est exportateur des flux migratoires, il ne s’y produit pas de mélange avec des forts flux d’immigration qui viendraient s’installer en Chine en provenance d’autres continents. Le Japon est depuis toujours fermé à l’immigration massive. Les populations sur ces territoires sont donc en position de conserver leurs spécificités. L’Europe par contre est un territoire où ceux qui sont au pouvoir - les politiques et les lobbies qui les entourent - permettent que se créent des conditions qui favorisent l’immigration forte en provenance d’autres continents. D’après les faits actuellement observés, les Blancs européens sont les premiers auxquels on demande ouvertement de disparaître dans les processus imposés par la dictature du mondialisme et peut-être qu’en fin de compte ils seront les seuls à avoir disparu dans ces processus mondialistes.
Les populations sur le continent européen se sont donc mélangées entre elles de manière permanente pendant des millénaires en se constituant ainsi en une branche particulière de l’humanité.
Maintenant, depuis le milieu du XXe siècle, c’est différent : les Européens autochtones font face au mélange massif avec l’immigration en provenance d’autres continents, et comme en même temps le taux de natalité des Européens d’origine est trop bas, le remplacement complet de la population européenne autochtone est en cours. En 2100, seul un tiers des Européens seront des Blancs européens, c’est-à-dire des Européens d’origine européenne [6].
Il est parfois mal vu en France d’évoquer ces faits. La liberté d’opinion et d’expression est incertaine en France et peut-être même s’y réduit en permanence. Pourtant, afin de diminuer les tensions sociales, il serait souhaitable que les citoyens participent aux décisions plutôt que de les subir.
Par exemple, il doit être permis aux citoyens européens de prononcer les deux phrases suivantes qui sont cohérentes :
« L’immigration en Europe depuis les autres continents doit être arrêtée ou elle pourrait être réduite aux seuls cas très exceptionnels qui restent à définir. Les immigrés non-européens et leurs descendants qui avant l’entrée en vigueur de l’arrêt de l’immigration non-européenne sont déjà présents en Europe et qui habitent en permanence légalement dans l’Union européenne ont le droit d’y rester. »
Jusqu’au milieu de XXe siècle, les immigrés en France étaient des Européens. Cette immigration européenne existe depuis la nuit des temps et dans tous les pays d’Europe. Ces immigrés-là étaient dès la deuxième génération assimilés, car par leur culture, par leur religion, par leur apparence physique ils se fondaient dans la population au point d’en faire partie sans aucune distinction.
Notamment l’immigration européenne n’a pas créé des tensions extrêmes en introduisant une religion que les Français, et les Européens en général, en majorité n’appellent pas de leurs vœux.
L’arrivée massive des non-Européens et des musulmans, avec des références culturelles très différentes des références traditionnelles en Europe ou en France, provoque de forts changements dans les valeurs de référence de la société.
Ce qui est la cause du communautarisme, ce qui éventuellement pose problème, en France et généralement en Europe, ce n’est pas « l’immigration », c’est « l’immigration non-européenne ».
On en est à présent en France, et en Europe, à la 3e génération de descendants d’immigrés africains (Noirs ou Nord-Africains), qui sont très majoritairement musulmans, et au lieu d’assimilation, d’adaptation au peuple et à la terre d’accueil, on constate l’inverse : ils imposent le changement de la société française et européenne selon leurs critères.
Adhérer à une civilisation demande des efforts. L’assimilation implique notamment la renonciation à la culture d’origine. Pensez-vous ou constatez-vous par exemple que les immigrés africains (Noirs ou Nord-Africains) et leurs descendants, qui sont très majoritairement musulmans, sont en train de massivement abandonner l’islam ? Les musulmans n’exigent-ils pas, de plus en plus fréquemment, que des mosquées soient érigées, en France et dans d’autres pays d’Europe ?
La laïcité a été introduite à une époque et dans un contexte dont l’islam était absent en France métropolitaine. La laïcité a introduit un mode de vie qui devait modérer le christianisme sur la scène politique. La laïcité n’a pas cherché à interdire le christianisme. Le christianisme est l’élément majeur qui a façonné la civilisation européenne au fil des siècles. La laïcité ne pouvait pas nier la civilisation européenne. La civilisation européenne s’est bâtie sur les racines grecques antiques (philosophie et science), sur les racines romaines antiques (législation et administration) et sur les racines chrétiennes (morale et valeurs non matérielles). La laïcité n’a pas interdit le christianisme et elle ne doit pas l’interdire car c’est un des éléments fondateurs de la civilisation européenne. Les gens ont bien le droit de croire en Dieu et notamment ont le droit de fréquenter les églises chrétiennes qui font partie du paysage européen depuis des siècles.
La laïcité a été mise en place en France il y a plus de cent ans de manière à permettre la liberté du culte dans le respect des traditions culturelles européennes. Elle a ainsi préservé l’héritage de la civilisation européenne. Mais la laïcité n’était pas prévue pour préserver les traditions culturelles européennes face à des pressions culturelles extérieures, face à l’immigration massive musulmane. Ce cas n’était pas imaginé à l’époque.
La laïcité n’était pas prévue pour faire barrage à l’islam qui en Europe avance à grande vitesse. Combien y avait-il de musulmans en France métropolitaine il y a 50 ans et combien il y en a maintenant ? Même les estimations officielles, quoique volontairement très minimalistes, montrent une progression rapide.
La laïcité ne peut pas s’opposer à l’islam. Elle n’est pas faite pour ça. Pour préserver la civilisation européenne il faut énoncer clairement qu’on défend ses fondements grecs, romains et chrétiens.
Les tensions apparaissent. Il est à présent nécessaire en Europe, notamment par exemple en France, que ceux qui ne sont pas des Européens autochtones et qui sont souvent musulmans, s’assimilent à la société accueillante. Cela doit encore être possible.
De même il est à présent nécessaire d’arrêter l’immigration massive depuis les autres continents. Cela est nécessaire pour la survie des Européens d’origine et pour la survie de leur civilisation.
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- LE DROIT DE SURVIVRE.
Concernant la perception en France de l’existence des divers groupes humains qu’en France on nomme « minorités visibles » - certainement parce que ces groupes sont visuellement identifiables et peut-être parce que ces groupes sont actuellement encore minoritaires en France - une constatation est intéressante : la revendication en France de cette identification spécifique a été ces dernières années fortement appuyée par les Noirs. Des associations nombreuses ont été créées pour défendre les intérêts des Noirs. Donc il apparaît qu’en France aussi, même si pendant des décennies on niait officiellement ces spécificités, dans les faits on redevient à présent progressivement capable d’identifier publiquement des Noirs ou d’autres groupes « visibles », comme on en a toujours été capable ailleurs dans le monde.
De toute façon c’est un fait établi que des associations nombreuses ont été créées en France avec pour objectif de défendre les intérêts des Noirs.
Autrement dit, on constate donc en France par les faits que c’est un droit démocratique de pouvoir dire « j’appartiens au groupe visible X et je veux défendre les intérêts de mon groupe visible ». Les faits prouvent que les Noirs ont le droit en France de le revendiquer sans être accusés de communautarisme et à l’évidence sans que les pouvoirs publics n’intentent des procès « pour discrimination » à leur encontre.
Ces associations qui défendent les intérêts de Noirs ont apparemment rencontré un soutien général, y compris le soutien de la Ligue des droits de l’homme, c’est du moins ce que l’on peut supposer en parcourant le site de la section de Toulon de la Ligue des droits de l’homme. Sur ce site de la LDH de Toulon sont publiés les articles repris du journal Libération et du journal Le Monde (de novembre 2005). Ces articles ne sont pas critiques concernant la création du CRAN (Conseil représentatif des associations noires) [7]. Lien.
Citation : « les Noirs représentent le plus grand groupe social en France à ne pas être fédéré (plus de cinq millions de personnes) ». D’après l’information qui figure sur ce lien, les Noirs sont désormais « fédérés » pour mieux appuyer leurs revendications.
Par conséquent, les Blancs européens peuvent également souhaiter que leurs intérêts soient défendus.
Les cercles qui prétendent être « bien pensants », qui depuis des décennies tiennent le pouvoir de propagande et de formation des idées (politique, médiatique, Éducation nationale), s’opposent à tout changement d’orientation et maintiennent une forte propagande en faveur de l’immigration en provenance d’autres continents, qui s’avère être très largement musulmane. Ils s’octroient le rôle exclusif de défenseurs des droits de l’homme et, par ce biais, de façon antidémocratique, en ignorant la volonté de la majorité des citoyens, prétendent que défendre la survie de l’homme européen, c’est-à-dire de la branche européenne de l’humanité, est mal.
Pourtant défendre la survie de l’homme d’origine européenne n’est pas une incitation à la haine ou au combat contre les autres branches de l’humanité. Défendre la survie des Européens autochtones est une incitation à sauvegarder la biodiversité. Cultiver et préserver les spécificités locales c’est sauvegarder la diversité. Alors que faire l’apologie du mélange c’est inciter à la fusion des diversités dans une masse uniforme. Ces questions concernent à la fois la biodiversité et la diversité des civilisations.
Le mélange (biologique ou culturel) doit résulter d’un choix individuel, il ne doit pas être le résultat massif d’une incitation massive par les moyens de propagande et de formation des idées (politique, médias, Éducation nationale). L’immigration en provenance d’autres continents ne doit pas être le résultat massif des orientations politiques imposées par des groupes de pression divers (politiques au pouvoir, milieux économiques, médias, Éducation nationale). La démographie déclinante des Européens autochtones ne doit pas être le résultat massif des choix politiques et sociaux nuisibles imposés à la population : les conditions d’existence adaptées à une vie familiale ne sont pas la priorité des politiques européens au pouvoir, à l’exception de quelques initiatives fortes, comme par exemple le revenu parental récemment instauré en Allemagne par Angela Merkel.
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- QUESTIONS SUR L’AVENIR :
a. Quelle sera la structure des groupes « visibles » de la population, la structure ethnique, religieuse et culturelle de l’Europe en 2100 ?
b. Où nous mènent les politiques européens, quels sont leurs idéaux ?
c. Pourquoi les politiques favorisent l’immigration en provenance d’autres continents, au lieu de stimuler la natalité européenne autochtone ?
d. Est-il vrai que si la population de l’Union européenne est réduite en raison du bas taux de natalité, le niveau du bien-être matériel de la population européenne sera réduit, excepté si nous continuons à favoriser l’immigration massive en provenance d’Afrique et d’Asie ?
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- RÉPONSES SUR L’AVENIR :
La réponse à la première question, concernant la structure des groupes « visibles » de la population future de l’Europe, si les tendances migratoires actuelles ne sont pas inversées, est présentée sur le tableau graphique ci-dessous. On y constate qu’en 2100 un tiers de la population de l’Europe sera d’origine européenne. Toutes les études convergent sur cette conclusion à partir de mêmes hypothèses : l’immigration des non-Européens se poursuit et la natalité européenne autochtone reste aux niveaux bas actuels.
La structure des groupes « visibles » de la population, la structure religieuse et culturelle de la population européenne en 2100 découlera des caractéristiques « visibles », religieuses et culturelles importées en Europe par la population d’origine non-européenne qui y vient avec ses valeurs caractéristiques. La presque totalité des immigrés non-européens sont musulmans.
Les réponses aux trois autres questions sont dans l’article qui est intitulé « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ».
En résumé, l’article mentionné ci-dessus expose qu’il est possible d’organiser une société stable avec la masse d’habitants de l’Union européenne qui représentent la plus grande concentration d’ouvriers et d’ingénieurs qualifiés de la planète. À terme, une union avec la Fédération de Russie, ou l’accueil de la Fédération de Russie dans l’Union européenne, devrait assurer l’indépendance en ressources premières nécessaires à l’activité économique.
Le tableau graphique suivant (cliquer pour agrandir) représente l’évolution des populations en Europe et en Afrique [6] :
Les chiffres européens incluent la population sur le continent européen entier, y compris la Fédération de Russie.
La courbe basse donne l’évolution de la population européenne autochtone, c’est-à-dire des Européens d’origine : 170 millions en 2100.
La population européenne autochtone évolue vers la disparition à cause de la faible natalité : entre 1,3 et 1,4 enfant par femme.
Les termes « taux de natalité », « taux de naissance » et « taux de fécondité » sont dans le présent article utilisés comme synonymes : ils expriment quel est en moyenne, dans un groupe donné, le nombre d’enfants viables auxquels donne naissance une femme.
La baisse du taux de natalité des Européens autochtones n’est pas terminée : en 2000 le taux était de 1,6 enfant par femme européenne, et en 2006 il est tombé à 1,4 enfant par femme dans l’ensemble du continent européen, mais dans certain pays il est déjà à 1,2 enfant par femme. Les projections donnent pour 2007 un taux se situant entre 1,3 et 1,4 enfant par femme.
Cette courbe basse ne tient pas compte du mélange (dont le taux est inconnu) avec les « groupes visibles » qui réduira encore la part de Blancs européens dans la population européenne totale. On peut donc dire que cette courbe basse est « une estimation haute » de l’évolution du nombre des Européens d’origine. Cette estimation concorde dans plusieurs sources. Les sources en langue française sont peu accessibles sur internet, mais elles existent. En consultant les notes en fin de l’article le lecteur peut constater que cette projection démographique est par exemple donnée par le Conseil de l’Europe, dans un rapport qui reproduit très exactement cette courbe : dans la note [6] examinez l’image « Figure 12 : Diminution de la population en Europe ».
La courbe du milieu donne l’évolution de la population européenne en tenant compte des apports de l’immigration depuis les autres continents, essentiellement depuis l’Afrique et l’Asie. La courbe est basée sur l’hypothèse du maintien de la politique actuelle d’immigration depuis les autres continents, politique qui est favorable à l’immigration massive (aides familiales, subventions sociales, « droit de sol », etc.). Les rapports les plus récents de l’ONU demandent à l’Union européenne de multiplier rapidement par deux au moins le flux actuel de l’immigration non-européenne afin de palier la démographie déclinante des Européens autochtones. Cette position officielle de l’ONU, qui incite au remplacement des Européens autochtones, est présentée au chapitre suivant.
Pour comparaison, la courbe haute donne, selon l’estimation basse, l’évolution de la population sur le continent africain. C’est bien une estimation basse, qui tient compte de la mortalité et notamment du sida et des autres épidémies. L’explication de cette pente montante si abrupte est dans le fait que le taux de fécondité moyen en Afrique est actuellement proche de 5 enfants par femme et le Niger a le taux de fécondité le plus élevé au monde : 7,9 enfants par femme. Et grâce aux progrès de la médecine la mortalité n’est plus ce qu’elle était il y a cent ans. La courbe représentée est donc une estimation basse, les estimations les plus hautes prévoient près de 3 milliards d’habitant en Afrique en 2100.
Les aides massives que les Européens fournissent à l’Afrique sont destinées à nourrir, abriter, instruire et donner des soins de santé aux Africains. Le résultat de toutes ces aides est que la population africaine se multiplie à une vitesse jamais et nulle part ailleurs constatée dans l’histoire de l’humanité. Le soutien financier massif destiné à l’Afrique inclut l’aide humanitaire et les prêts qu’obtiennent les États africains, mais que les gouvernements des États européens finissent par rembourser sur décisions de ceux qui sont au pouvoir en Europe (en vérité : les contribuables européens remboursent). Le fait que ce soutien financier massif, qui est en augmentation constante depuis des décennies, ne parvient pas à réduire la pauvreté sur le contiennent africain, permet de poser la question : les Africains sont-ils capables de se prendre en charge ? Le résultat factuel de ces aides est que la population africaine, dont la masse croit de façon incontrôlée, augmente sans cesse la pression des flux d’immigration depuis l’Afrique vers l’Europe.
Certaines études font penser que la fécondité d’une population baisse lorsque les conditions économiques s’améliorent. Cependant aucune croissance économique n’est capable de suivre la croissance explosive de la population en Afrique. L’écart entre l’augmentation de la population africaine et la croissance économique africaine, est la raison principale de l’augmentation permanente de la pauvreté des Africains. Désormais, la pauvreté des Africains a comme cause principale la fécondité non maitrisée de la population. La fécondité en Afrique ne pourra donc baisser que s’il y a intervention autoritaire des pouvoirs publics en suivant l’exemple de ce qui a été fait en Chine. Rien ne permet de présager en Afrique cette intervention autoritaire des pouvoirs publics.
Certains diront que les Africains ont le droit, s’ils le souhaitent, de se multiplier autant qu’ils le veulent. Sur les territoires qui sont sous leur gestion ils ont le droit d’organiser leur société comme il leur plaît. Les Africains ont le droit de se multiplier autant qu’ils le souhaitent. C’est certain. Mais alors ils doivent assumer les conséquences de leur choix, ils ne doivent pas demander aux autres branches de l’humanité de financer les moyens nécessaires à la survie de la masse croissante des Africains, ils ne doivent pas chercher à déverser leur trop-plein de population sur l’Europe.
En France, il est mal vu de parler publiquement de ces faits sous peine d’être soupçonné de racisme et d’être menacé de perdre son emploi. Le racisme c’est l’appel à la haine contre certaines races. Ce n’est pas de la haine que de dénoncer ce qui ne va pas bien dans une région du monde ou dans un groupe humain. Il faut pouvoir dire la vérité sur les comportements irresponsables des Africains. Les aides déversées sur l’Afrique devraient être prioritairement, et même exclusivement, orientées vers ce but de la baisse forte et rapide du taux de fécondité des Africains. C’est la seule solution pour à la fois sortir l’Afrique de sa pauvreté et réduire les pressions migratoires orientées sur l’Europe.
La répartition des taux de fécondité dans le monde est résumée dans le document « 2006 World Population Data Sheet ». Ce document est publié par le « Population Reference Bureau » à Washington, qui centralise les données fournies par divers organismes officiels spécialisés dans les études démographiques, dont notamment la « Population Division » des Nations unies et l’INED à Paris. Le graphique suivant (cliquer pour agrandir) en est la synthèse où apparaît en évidence l’écart extrême entre les taux de fécondité en Europe et en Afrique :
On y remarque qu’en 2006 en France métropolitaine le taux de fécondité était inférieur à 2. Le taux de fécondité égal à 2, une information qui a été largement relayée par les médias français, correspond à la valeur du taux français global, valeur qui est atteinte avec l’apport des Territoires et Départements d’outre-mer.
Voici le lien sur l’article « La démographie » de Philippe Jurgensen, publié sur le site de l’Académie des Sciences morales et politiques, et qui décrit l’effondrement démographique des Européens et l’explosion démographique des Africains : lien.
Une citation de l’article ci-dessus :
« Quant à l’Afrique noire, qui recèle des pays dont le taux de fécondité est encore de 7 à 8 enfants par femme en moyenne, elle va continuer à connaître une explosion démographique sans précédent. Certains croient, bien à tort, que les ravages de l’épidémie du sida vont casser ce dynamisme démographique. En réalité, à part quelques pays particulièrement touchés comme l’Afrique du Sud, ce désastre sanitaire n’empêchera pas la population de l’Afrique noire de continuer à s’accroître très rapidement : elle va presque tripler d’ici 2050, passant d’environ 750 millions actuellement à près de 2 milliards d’habitants. Un pays comme le Nigeria - déjà plus de deux fois la France aujourd’hui - verra sa population dépasser les 300 millions, soit autant à lui seul que toute la zone Euro. »
Un autre article de l’Académie des Sciences morales et politiques - « L’Europe ou l’illusion de la grandeur : dépression démographique et dépendance migratoire » - qui explique que l’immigration nouvelle remplace la population des Européens autochtones et remplace l’héritage culturel chrétien européen par l’islam : lien.
Quelques citations de l’article ci-dessus :
« De 2000 à 2050, on assistera à une perte démographique de cinquante millions d’habitants dans l’UE-25, cependant que l’arrière-pays musulman enregistrera un gain de 700 millions : sa population devient alors trois fois supérieure à celle de l’UE-25. »
« L’Europe a une vision irénique, bureaucratique, molle, elle est sans défense, incapable de prendre des décisions ; elle est prête à se soumettre, lorsque la décision est prise (loi sur l’interdiction du port du voile islamique par les femmes dans les écoles publiques), la France, par exemple, a été menacée d’attentats terroristes. Le chantage n’a pas cessé ; la souveraineté nationale est en jeu. »
« La position [...] annonçant que l’Europe devient une « province de l’Islam », désireux de convertir l’humanité par la force, devrait au moins figurer dans les débats, plutôt que d’être occultée, au nom du « politically correct » ».
« L’Europe reste mal préparée à une immigration majoritairement islamique et le discours sur la société multiculturelle, très en vogue, encore récemment, par exemple aux Pays-Bas, a été un échec flagrant, entraînant un éclatement social et une radicalisation politique ; la leçon a été comprise ».
« Mais il faut être conscient de la difficulté à absorber l’immigration ; l’opinion est réactive ; dans tous les pays, quels qu’ils soient (Eurobaromètre, 1997), l’opposition est la même. Un tiers des enquêtés se déclarent « ouvertement racistes », un tiers « plutôt racistes » et un tiers indifférent. La classe politique craint la montée des partis nationalistes et ne s’avance qu’avec une extrême précaution, sur un terrain qui ne fâche pas : l’immigration qualifiée ».
Ces observations effectuées par l’Eurobaromètre sont un argument supplémentaire en faveur de l’arrêt de l’immigration non-européenne, car elles montrent que l’arrêt de l’immigration non-européenne est dans l’intérêt de tous - des Européens autochtones ainsi que des immigrés non-européens et de leurs descendants - parce que les tensions, qui iront en s’accroissant si l’immigration non-européenne se poursuit, finiront par atteindre un seuil où des instabilités sociales non maîtrisables apparaîtront.
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- LE REMPLACEMENT DES POPULATIONS EUROPÉENNES EST DEMANDÉ PAR L’ONU.
Au sein de l’Organisation des Nations unies, le Haut Commissariat aux droits de l’homme se donne pour objectif « de défendre et de protéger les droits des populations autochtones et de les mettre en mesure de faire des choix qui leur permettent de conserver leur identité culturelle tout en participant à la vie politique, économique et sociale, dans le respect absolu de leurs valeurs culturelles, de leurs langues, de leurs traditions et de leurs modes d’organisation sociale » : lien.
À première vue c’est une bonne initiative car elle contribue à préserver la diversité des groupes humains et à lutter contre l’uniformisation mondialiste.
Cependant les Européens autochtones ne semblent pas avoir le droit d’invoquer « les droits des peuples autochtones » lorsqu’ils veulent conserver leur identité et leurs valeurs culturelles, leurs traditions et leur mode d’organisation sociale. Car la Division de la population du Département des affaires économiques et sociales, de l’Organisation des Nations unies, a publié un rapport intitulé « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? ». À cette question l’Organisation des Nations unies répond par un OUI. En voici le résumé en français : lien.
Ce rapport prétend qu’il n’y a qu’une seule solution au déclin démographique des Européens autochtones : l’immigration massive en provenance d’autres continents. L’ONU précise que dans un pays où le taux de fertilité est dans la moyenne européenne, il faut chaque année 6 000 immigrés par million d’habitants. Pour le continent européen entier, avec 720 millions d’habitants, les dirigeants de l’ONU veulent donc que chaque année 4 320 000 immigrés non-européens viennent remplacer les Européens autochtones en voie de disparition. En cent ans, jusqu’en 2100, cela voudrait dire qu’environ 400 millions immigrés non-européens seront venus en Europe. À ce moment-là les Européens autochtones ne seront plus que 170 millions.
Ce rapport peut être considéré comme « modéré » comparé aux rapports ultérieurs. En effet, d’autres rapports de l’ONU ont depuis augmenté par deux ou par trois les exigences concernant les flux d’immigration que les Européens devraient accepter.
À aucun moment les instances internationales n’envisagent que les Européens autochtones pourraient organiser leur société de manière à perdurer malgré la réduction de la population au lieu de disparaître par le remplacement.
Le rapport de l’ONU « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? » date du 17 mars 2000. Depuis, tous les rapports de l’ONU, toutes les interventions des dignitaires de l’ONU auprès des dirigeants européens, avancent l’argument que pour assurer une forte croissance économique en Europe il faut une forte immigration non-européenne et chaque nouvelle recommandations de l’ONU augmente encore le débit des flux d’immigration que les Européens autochtones sont priés de rapidement accepter sur le sol européen [8].
Les arguments habituels que l’on oppose aux Européens autochtones, afin qu’ils acceptent l’immigration qui conduit à leur remplacement, sont surtout d’ordre économique.
La croissance économique est-elle le critère suprême ? Les Européens sont-ils d’accord avec ce diktat que les instances politiques internationales, soutenues par les lobbies des investisseurs internationaux, cherchent à leur imposer ? Les Européens autochtones sont-ils prêts à être remplacés sur leur continent d’origine afin que les profits des entreprises croissent d’avantage ? En vérité ce diktat doit être fermement refusé par les Européens car l’extinction n’est pas un destin inévitable des Européens autochtones. C’est ce que démontre l’article déjà mentionné « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ».
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- QUELLES DÉCISIONS PRENDRE ?
Les opinions exposées dans la présente contribution ne traduisent pas obligatoirement l’opinion majoritaire des citoyens européens.
Certains citoyens européens pensent qu’il n’y a aucun mal si l’islam progresse en Europe pour devenir à terme la religion majoritaire. Cependant il y a d’autres Européens opposés à l’islamisation de l’Europe.
Certains citoyens européens sont favorables à l’uniformisation culturelle de la planète. D’autres Européens aimeraient que les groupes humains puissent continuer à évoluer dans leurs diversités culturelles.
Certains citoyens européens veulent la disparition de la biodiversité des groupes humains, par conséquent ils sont favorables à l’immigration massive depuis les autres continents, ils appellent au mélange et veulent la disparition des Blancs européens. Cependant il y a d’autres Européens opposés à l’uniformisation planétaire des humains. Ces Européens aiment leurs racines et voudraient prolonger leur lignée. Ils aiment le groupe des Blancs européens et estiment que c’est une attitude écologiquement positive de maintenir la biodiversité de l’humanité et d’aider les Blancs européens à survivre dans leur habitat naturel, c’est-à-dire sur le continent européen.
L’import de différences - religieuses, culturelles, d’apparence physique ou autres - dans une population donnée présente peu de risques lorsqu’il est marginal, avec un faible taux d’immigration largement réparti de façon homogène sur l’ensemble de la population. Dans ce cas le processus aboutit globalement à l’assimilation. Par contre, lorsque le taux d’immigration est fort, avec des différences qui se concentrent et se maintiennent sans aller vers l’assimilation, avec notamment des différences culturelles ou religieuses extrêmement éloignées du milieu d’accueil, alors le danger existe que les tensions sociales induites par ces changements forts, subis comme une contrainte par les populations autochtones, ne débouchent sur des conflits ouverts, sur des instabilités sociales croissantes.
Comme cela doit toujours être le cas en démocratie, les décisions à prendre doivent être le reflet fidèle de ce que veut la majorité des citoyens qui souhaitent s’exprimer sur les décisions à prendre. Cela concerne également les décisions sur les questions soulevées dans le présent article :
- Faut-il un arrêt de la politique d’immigration en provenance d’autres continents ?
- Faut-il une politique sociale pour inverser les tendances démographiques actuelles, pour aider les citoyens européens dans la vie de tous les jours avec leurs enfants : crèches et jardins d’enfants très bon marché, ouverts à toute heure et partout, salaire parental, réduction de la propagande actuellement dominante qui incite à l’accroissement des valeurs matérielles et augmentation de la propagande en faveur des valeurs familiales, etc. ?
- Faut-il organiser la société européenne de manière à progresser avec une population en réduction ?
Les Européens d’origine, les peuples premiers d’Europe, peuvent organiser leur société de manière à perdurer malgré la réduction de la population au lieu de disparaître par le remplacement. La course à la croissance économique perpétuelle ne doit pas être acceptée comme le but suprême de nos existences.
Dans les situations de crise grave, mettant en cause leur survie, les groupes humains qui veulent avoir une place dans l’avenir s’organisent, réorientent les priorités du groupe selon les contraintes imposées par la menace. C’est par exemple le cas dans les situations de guerre. Lorsque la survie devient la priorité, les questions d’accumulation des biens matériels, des distractions futiles, de la maximisation des profits, de l’enrichissement ou de confort matériel deviennent très secondaires. Puisque l’existence même des peuples premiers européens est menacée, la société des Européens actuels doit s’organiser pour viser en priorité la survie sur le long terme. Les Européens autochtones ne doivent pas être remplacés dans leur totalité par des populations venues d’autres continents. La civilisation européenne ne doit pas être remplacée par une civilisation venue d’ailleurs.
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- QUEL DOIT ÊTRE LE PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISION ?
Les décisions sur les trois questions posées ci-dessus ne seront pas démocratiques si elles sont prises par les politiques (députés du Parlement européen ou des parlements nationaux, chefs d’État et de gouvernement) qui souvent déforment ou ignorent la volonté majoritaire des citoyens, en préférant écouter les lobbies [9] ou en préférant suivre les préceptes des idéologies auxquelles adhèrent leurs partis politiques dominants.
Les cas sont nombreux quand les parlements ou les chefs d’État et de gouvernement décident ce qui bon leur semble et ne respectent pas la démocratie car ils ne respectent pas la volonté de la majorité de la population. Un exemple flagrant qui a démontré que les politiques au pouvoir ne représentent pas fidèlement la volonté de la majorité des citoyens : le vote sur la Constitution de l’Union européenne, dans la version proposée aux citoyens européens en octobre 2004. En France, cette constitution avait été approuvée par le président de la République française, puis avait été approuvée par 92 % des parlementaires de l’Assemblée nationale française. Par un concours exceptionnel de circonstances, les citoyens ont été alors autorisés à exprimer leur volonté de manière directe et la Constitution de l’Union européenne - au contenu résolument mondialiste et antidémocratique - a été rejetée par 55 % des électeurs français lors du référendum de mai 2005. C’est une parmi les preuves que les politiques, qui ont reçu le mandat du peuple, ne reflètent pas la volonté de la majorité des citoyens. C’est une parmi les preuves que les politiques qui sont au pouvoir ne respectent pas les règles fondamentales de la démocratie [10].
Si l’évolution de la démographie européenne montre en effet les signes d’un suicide collectif que les Européens autochtones sont en train de commettre, il apparaît néanmoins que c’est un suicide assisté, encouragé par les incantations des cercles qui veulent maintenir les flux d’immigration en provenance d’autres continents et qui font de la propagande en faveur du métissage dans tous les sens du terme. Les politiques qui alternent au pouvoir depuis des décennies font partie de ces cercles et sont les complices actifs de ce suicide collectif.
La décision sur la politique d’immigration en provenance d’autres continents sera démocratique si elle reflète de façon certaine ce que veut la majorité de la population, c’est-à-dire si elle est prise par les citoyens directement, sans intermédiaires, au moyen de référendum.
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- LES LOBBIES LOCAUX MILITENT EN FAVEUR DE LA FORTE IMMIGRATION NON-EUROPÉENNE - AVEC QUELLES CONSÉQUENCES ?
Le manque de main-d’œuvre était déjà à l’ordre du jour dans les années 1950. Il peut être intéressant de faire la comparaison avec les solutions qui à ce moment-là ont été adoptées en France ou dans d’autres pays d’Europe occidentale d’une part, et au Japon d’autre part.
Dans les années 1950-1960, il a été décidé en France d’importer des immigrés d’Afrique (du Nord et sub-saharienne). La justification a été que l’industrie et l’économie en général ont besoin de toujours plus d’ouvriers pour assurer la croissance. Et c’était le commencement des changements massifs dans la structure « visible » ou ethnique et religieuse de la population française, qui d’une population européenne aux racines culturelles chrétiennes au début du XXe siècle est devenue une population métissée et de plus en plus marquée par l’islam au début du XXIe siècle.
Toujours dans les années 1950-1960, mais au Japon, il a été décidé d’automatiser l’industrie et les Japonais ont investi dans les robots et la réorganisation du travail dans tous les secteurs économiques. Ils ont réussi à créer une expansion économique durable et la population japonaise n’a pas changé sa structure « visible », ethnique ou religieuse.
Il y a là matière à de nombreuses études qui pourraient examiner comment les décisions dans un domaine - l’économie ou l’industrie - produisent des effets durables et parfois irréversibles dans d’autres domaines - culture, structure « visible » ou ethnique de la population, structure religieuse...
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- CONCLUSION.
Insistons : les Européens autochtones peuvent organiser leur société de manière à perdurer malgré la réduction de la population au lieu de disparaître par le remplacement. C’est une question de VOULOIR et d’OSER.
Cet article traite du sujet qui est fondamental pour la société européenne. L’avenir que l’on a préparé en ouvrant les portes à l’immigration massive non-européenne destinée à remplacer la population européenne actuelle, est pour les peuples premiers européens en vérité une voie vers l’absence d’avenir. Si c’est « être ou ne pas être » qui se décide ainsi, tout le reste est secondaire. Les autres sujets de politique ou de société n’ont que peu d’importance face à ce sujet-là : « être ou ne pas être ».
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- Notes :
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Précision : après la publication de mes précédents articles il est arrivé que des lecteurs demandent s’ils peuvent copier un extrait de mon article, à quoi je réponds « oui ». Les lecteurs qui partagent les idées développées dans mes contributions peuvent utiliser les textes de mes articles pour propager ces idées sur d’autres forums, dans d’autres médias ou autour d’eux. Si vous partagez mes opinions alors vous pouvez traduire mes contributions, vous pouvez utiliser mes textes tels quels, vous pouvez les copier entièrement ou en partie, ou vous pouvez les adapter de la manière qui vous convient. Si j’écris c’est pour que les gens lisent, donc plus il y a de lecteurs meilleur c’est. L’important ici est la propagation des informations et des opinions.
[1] Le peuple premier est le peuple le plus anciennement reconnu comme habitant sur une zone géographique. Les termes qui peuvent également être utilisés dans des significations proches sont par exemple : peuples autochtones, premières nation, autochtones, etc.
Voir l’explication donnée par le site officiel « Bibliothèque et Archives Canada » qui recueille et préserve le patrimoine documentaire du Canada : lien.
[2] Nous utilisons le terme « Blancs européens » comme les associations françaises réunies autour du CRAN (Conseil représentatif des associations noires) utilisent le terme « Noirs ».
Les Blancs européens sont issus de deux rameaux d’origines géographiques européennes qui se sont depuis des millénaires mélangés entre eux sur le sol du continent européen : une branche est originaire du nord-est de la mer Noire (la majorité des Européens autochtones actuels) et l’autre branche est originaire de la région à l’ouest de l’Oural (les peuples de cette branche sont aussi des Européens autochtones, mais cette branche est actuellement minoritaire : les Hongrois, les Finlandais, etc.). Les divers peuples issus de ces deux rameaux, qui forment le groupe des Blancs européens, sont les peuples premiers d’Europe.
On pourra également lire l’article « Les races et les Français » publié sur AgoraVox.
[3] Lire l’article « L’Union européenne et sa « carte bleue » pour faciliter l’immigration non-européenne » publié sur AgoraVox le 5 octobre 2007.
On pourra également lire l’article « Une carte bleue pour attirer les cerveaux étrangers » publié par La Libre Belgique le 23 octobre 2007.
[4] Citation d’Arnold Joseph Toynbee (1889 - 1975) qui était un historien britannique. L’histoire comparée était son domaine de prédilection. Son analyse en 12 volumes de l’essor et de la chute des civilisations, « Étude de l’histoire » (A Study of History) est une synthèse de l’histoire mondiale, une « métahistoire » basée sur les rythmes universels de la croissance, de l’épanouissement et du déclin : « Quand une civilisation arrive à relever des défis, elle croît. Sinon elle décline. » : lien.
Une civilisation peut donc relever des défis y compris celui de sa disparition programmée, c’est-à-dire qu’elle peut décider de ne pas disparaître pour au contraire perdurer et même pour s’imposer face aux pressions étrangères. La question est : la civilisation européenne OSERA-t-elle décider de survivre ? À ce propos on peut aussi noter, comme l’écrivait un philosophe, écrivain et journaliste français, Jean-François Revel : « il est clair qu’une civilisation qui se sent coupable de tout ce qu’elle est et fait n’aura jamais l’énergie ni la conviction nécessaires pour se défendre elle-même ».
[5] Pour être tout à fait précis, il est vrai que les Blancs européens étaient également les peuples premiers sur une grande partie du nord de l’Afrique et de l’ouest de l’Asie, mais qu’ils y ont subi la pression d’autres branches de l’humanité, lesquelles y ont depuis établi leur domination. À présent, le territoire qui peut être défini comme l’aire naturelle des Européens d’origine, leur refuge ultime, est uniquement représenté par la bande de territoire qui va de Lisbonne à Vladivostok, en passant au nord de la mer Noire et de la mer Caspienne.
[6] Dans le présent article, les données chiffrées sur l’évolution démographique de la population européenne sont une synthèse des données publiées par le Conseil de l’Europe (siège à Strasbourg) et par l’Organisation des Nation unies (siège à New York).
Les sources d’information disponibles sur internet sont des études menées par :
- Nations unies (la Division de la Population du Secrétariat des Nations unies) :
lien 1 (fichier au format pdf) ,
lien 2 (fichier au format pdf).
Concernant l’immigration des non-Européens vers l’Europe, les rapports de l’ONU parlent de « migrations de remplacement ». Par exemple la phrase « pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le niveau d’immigration observé dans les années 1990 » figure dans le lien suivant : « Nouveau rapport sur les migrations de remplacement publié par la Division de la population des Nations unies ».
Examinez surtout le graphe « Figure 12 : Diminution de la population en Europe »
(cliquer pour agrandir) qui est extrait du rapport « Les tendances en matière de population en Europe et leur sensibilité aux mesures des pouvoirs publics ».
Remarque :
Cet article peut être reproduit et propagé, y compris les tableaux graphiques, sur d’autres forums ou dans d’autres médias. En cas de reproduction du tableau « Figure 12 : Diminution de la population en Europe », il convient, par courtoisie, d’en indiquer la source exacte, c’est-à-dire :
l’étude qui a été effectuée par le Conseil de l’Europe et qui est publiée sur le lien suivant (lien constaté actif en novembre 2007) :
http://assembly.coe.int/Documents/WorkingDocs/doc04/FDOC10182.htm
Le « Population Reference Bureau » à Washington publie périodiquement des documents de synthèse à partir des études effectuées dans le monde sur l’évolution démographique.
Les populations sur d’autres continents sont bien informées sur la question de l’extinction imminente des Européens d’origine. Voici par exemple un article publié en anglais dans un journal d’Asie : « Why Europe choses extinction » (Pourquoi l’Europe choisit-elle l’extinction).
[7] Les médias français et étrangers ont largement fait écho à la création du CRAN. Par exemple le site de Radio France Internationale a mis en ligne l’article « Le CRAN des Noirs de France ».
Citation : « « Nous voulons être un groupe de pression au sens classique, effectuer un travail républicain » .... la décision de créer ce mouvement est née d’un constat très simple : « Avec plus de cinq millions de personnes, les Noirs représentent le plus grand groupe social en France à ne pas être fédéré ». »
[8] Par exemple, en 2001, la Division de la population des Nations unies, a même augmenté la pression sur les Européens autochtones en énonçant que 4,5 millions d’immigré non-européens ne suffiront pas, mais qu’il faut 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe. Vous avez bien lu, cela signifierait 135 millions en seulement 10 ans. Lien sur un article publié par l’Unesco.
Citation de cet article : « Loin de menacer la protection sociale, les immigrés contribueraient à préserver le niveau de vie d’une Europe vieillissante. Selon la Division de la population des Nations unies, il faudrait 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe pour assurer la stabilité du rapport entre salariés et retraités. »
Cette citation est l’exemple parfait de la pression par le chantage que l’on exerce sur la population européenne autochtone : « si vous voulez continuer à vivre dans le confort, vous devez accepter de disparaître au profit de populations venues d’autres continents ».
Mais les lobbies qui agissent au sein des instances internationales ont leurs propres motivations.
Du point de vue de ces dignitaires des institutions internationales, l’organisation des flux migratoires toujours plus forts d’Afrique vers l’Europe est la solution idéale pour résoudre l’incapacité des Africains de se prendre eux-mêmes en charge, et notamment est d’après eux la solution idéale pour résoudre les problèmes africains induits par l’incapacité des Africains de brider leur natalité, cette trop forte natalité qui est devenue la cause principale de la pauvreté endémique sur le continent africain.
L’image ci-dessus est le témoignage des liens établis entre M. Franco Frattini, lorsqu’il était ministre italien des Affaires étrangères, et M. Kofi Annan, lorsqu’il était le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies.
L’image ci-dessus date d’octobre 2007, lors de la présentation par la Commission européenne de la « carte bleue », qui est la nouvelle carte de séjour européenne, en présence de M. Franco Frattini (à gauche) et de M. José Manuel Barroso. Selon le commissaire européen en charge de l’Immigration, M. Franco Frattini, l’Union européenne comptait 18,5 millions d’immigrés non-européens légaux en janvier 2006, soit « près de 4 % de la population de l’UE ». Il est aisé de comprendre pourquoi, malgré les flux massifs d’immigration en provenance d’autres continents, le nombre d’immigrés non-européens légaux est stable dans les États membres de l’Union européenne. Cela est dû au fait que ces États permettent la naturalisation dès que le séjour légal sur le territoire de l’État a duré quelques années. Naturellement dès qu’une personne a obtenu la nationalité d’un État membre de l’Union européenne, elle n’est plus comptabilisée comme immigrée. Voila comment les statistiques officielles permettent d’affirmer que « il ne peut pas y avoir un problème d’immigration non-européenne en forte croissance par rapport à il y a quelques dizaines d’années, puisque le nombre d’immigrés non-européens est stable depuis des décennies et ne présente qu’un très faible pourcentage de la population totale. ».
Les civilisations meurent par le suicide parfois parce que l’on les pousse au suicide. En vérité d’autres solutions existent. D’une part la société peut s’adapter à un niveau d’activité économique réduit, d’autre part la société peut être organisée de manière à permettre l’épanouissement de la vie familiale avec la mise en place des conditions qui facilitent la vie des couples avec enfants ce qui relancerait la natalité. Cela est exposé dans l’article déjà mentionné « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ».
[9] Les lobbies dictent les orientations de la politique française et les orientations de la politique de l’Union européenne. Le lien suivant vous montre comment les officines européennes de lobbying se font de la publicité : lien.
Lire l’article publié sur AgoraVox : « Comment contrer les lobbies de toute sorte et comment aller vers la démocratie ».
[10] La démocratie véritable est assurée par deux conditions indissociables :
- La liberté d’opinion doit être garantie : cela signifie que les citoyens sont libres d’exprimer et de propager toutes les opinions quelles qu’elles soient.
- Chaque décision politique doit être conforme aux désirs de la majorité des citoyens qui désirent prendre part à la décision.
Il est certain qu’aucune des deux conditions n’est respectée en France.
Les politiques ne doivent pas imposer aux citoyens la dictature de ce qu’il est permis de croire et de ce qu’il est interdit de penser et de dire. Mais la première condition de la démocratie n’est pas respectée en France. Sur le thème de la première condition de la démocratie j’ai écrit l’article suivant sur AgoraVox : « La liberté d’expression est une condition de la démocratie ».
En France nous vivons dans un système oligarchique qui est au mieux une « pseudo-démocratie ».
En démocratie véritable chaque décision politique doit être conforme aux souhaits de la majorité des citoyens qui désirent exprimer leur volonté sur la décision.
Cette deuxième condition de la démocratie n’est pas respectée en France.
Dans le système politique actuel les politiques sont élus, ensuite ils prennent des décisions, écrivent des lois, signent les traités internationaux, engagent des dépenses que des générations futures devront rembourser, etc., sans vérifier si la majorité de la population est d’accord avec chacun de leurs actes, et même souvent en sachant que la majorité de la population n’est certainement pas d’accord avec certains de leurs actes.
Le concept de démocratie est ancien. La définition en a été donnée en Grèce il y a des millénaires.
Toutes les redéfinitions, des variantes de sens, qui ont depuis été attachées au mot « démocratie » ne sont donc que des falsifications. La démocratie technocratique, la démocratie des élites, la démocratie des oligarques, la démocratie parlementaire, la démocratie participative, la démocratie représentative - tout cela sont des tentatives de masquer diverses formes de l’oligarchie sous des dénominations « démocratie quelque chose ».
Lorsqu’on n’est pas d’accord avec la véritable définition de la démocratie, on peut toujours citer tel personnage politique qui aurait donné une autre définition de ce qu’est la démocratie, mais ce n’est que sa définition de la démocratie, une définition fausse fabriquée pour correspondre au système politique qu’il souhaitait voir mis en place.
Rappelons la définition de la démocratie, définition qui est sans doute connue de presque tous les participants à AgoraVox. Cette définition fait partie de l’héritage culturel des Européens.
La première mention écrite connue, une définition courte de ce qu’est la démocratie, a été donnée par l’historien Thucydide (470 à 395 avant J.-C.).
La définition qui répond exactement et entièrement à la question « qu’est-ce que la démocratie ? » a été donnée par Aristote (384 à 322 avant J.-C.).
Définition de la démocratie par Aristote (dans La Politique) :
« Le principe de base de la constitution démocratique c’est la liberté (c’est, en effet, ce qu’on a coutume de dire parce que c’est seulement dans une telle constitution que les citoyens ont la liberté en partage ; c’est à cela, en effet, que tend, dit-on, toute démocratie). Et l’une des formes de la liberté, c’est d’être tour à tour gouverné et gouvernant. En effet, le juste selon la conception démocratique, c’est que chacun ait une part égale numériquement et non selon son mérite, et avec une telle conception du juste il est nécessaire que la masse soit souveraine, et ce qui semble bon à la majorité sera quelque chose d’indépassable [...] De sorte que dans les démocraties, il se trouve que les gens modestes ont la souveraineté sur les gens aisés ; ils sont en effet plus nombreux, et c’est l’opinion de la majorité qui est souveraine. [...] »
Voici donc ce que disait cet Athénien il y a plus de 2000 ans, bien avant la Révolution française, laquelle quoi qu’on en dise n’a pas mis en place la démocratie véritable.
Cependant, la démocratie véritable n’est à présent plus une théorie, mais est depuis plus d’un siècle devenue une réalité. Certes pas en France, ni dans aucun des États membres de l’Union européenne. Mais il existe pourtant un État européen qui poursuit l’idéal de se rapprocher le plus possible de la démocratie véritable.
Avec son système politique basé sur la démocratie directe et avec son organisation fédérale, la Confédération helvétique pourrait être un modèle pour les États membres de l’Union européenne et pour les instances de l’Union européenne (Commission européenne, Conseil de l’Union européenne) qui ont pris l’habitude de prendre des décisions non conformes à la volonté de la majorité des Européens.
Sur les questions fondamentales - la constitution, etc. - les citoyens suisses ont la garantie que toute décision sera prise uniquement et obligatoirement après le vote direct des citoyens. Sur les questions qui ne sont pas fondamentales, les citoyens suisses ont la garantie que sur leur demande, donc suite à une initiative des simples citoyens, toute loi peut être soumise au référendum.
La démocratie véritable, qui est donc dans la pratique basée sur la démocratie directe - avec la possibilité donnée aux citoyens de déclencher les référendums - n’élimine pas les éléments de « démocratie représentative » ni les éléments de « démocratie participative ». La démocratie directe laisse aux uns et aux autres la possibilité de faire des propositions et laisse aux politiques la responsabilité de gérer les affaires de la communauté au quotidien. Mais elle exerce sur les politiques et sur les lobbies (c’est-à-dire sur les groupes de pression) le contrôle permanent du respect de la règle démocratique : « pour toutes les questions qui touchent la communauté c’est la volonté de la majorité des citoyens qui décide ».
La démocratie véritable, la démocratie directe, cela ne signifie pas une société qui est gérée uniquement par référendums. Le droit aux référendums d’initiative populaire est le droit donné aux citoyens d’intervenir lorsqu’ils estiment que la règle fondamentale de la démocratie n’est pas respectée, la règle qui est la suivante : « pour toutes les questions qui touchent la communauté c’est la volonté de la majorité des citoyens qui décide ». Lorsqu’il y a un doute, toute décision politique doit POUVOIR être soumise à la validation. Mais cela NE signifie PAS que toutes les lois sont OBLIGATOIREMENT rédigées d’après les référendums. Il suffit d’observer le système politique suisse pour comprendre les mécanismes de prise de décision : les politiques professionnels (exécutif/législatif, gouvernement/parlement) et leurs décisions y ont leur place et les référendums d’initiative populaire n’interviennent que lorsque les citoyens veulent vérifier, concernant certaines décisions politiques, quelle est la volonté démocratique de la majorité des citoyens.
Dans un contexte de la démocratie directe, dont un dispositif important est la garantie de référendums, y compris les référendums d’initiative populaire, les politiques ne s’aventurent pas à prendre des décisions qui sont manifestement contraires à la volonté démocratique de la majorité des citoyens. Les politiques sont ainsi obligés d’agir en respectant la démocratie. Et quand ils ne la respectent pas ils s’exposent au risque d’être rappelés à l’ordre au moyen de référendum déclenché suite à l’initiative des citoyens.
La véritable démocratie ne se situe ni à droite, ni à gauche, ni à l’extrême droite, ni à l’extrême gauche. La véritable démocratie ne cherche pas à favoriser telle ou telle autre idéologie économique, la véritable démocratie met en application de façon impartiale uniquement les décisions voulues par la majorité des citoyens, quelles qu’elles soient, ainsi en Suisse certaines décisions peuvent d’après les critères français être qualifiées de gauche, d’autres de droite.
Les citoyens de l’Union européenne sont victimes du lavage permanent des cerveaux de la part des politiques, qui parsèment constamment leurs discours du mot démocratie, mais ne la mettent pas en pratique, et pour brouiller les pistes inventent des nouvelles définitions du mot « démocratie » pour se maintenir au pouvoir sous des déguisements de démocratie, eux et les cercles de pression qui les entourent. Pour ces raisons les citoyens n’y voient en effet souvent plus très clair dans ces discours à propos de « qu’est-ce que la démocratie ».
Pour évoluer vers la démocratie, il faudrait déjà que les citoyens européens sachent ce que signifie « démocratie ». Ils doivent connaître la définition de la démocratie véritable et non pas une autre définition de ce qu’est la démocratie, une définition fausse fabriquée pour correspondre au système politique que tel ou tel politique souhaite voir mis en place.
On peut être pour ou contre la démocratie véritable, mais lorsque l’on est contre, lorsqu’on préfère un autre système politique, il ne faut pas abuser en lui donnant le nom de « démocratie ».
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