Commentaire de Le péripate
sur La « conscience politique » sur les bancs de l'université
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
C’est en effet proprement incompréhensible que les étudiants réfractaires n’aient pas vu le fait inouïe que seul le président d’Université soit dorénavent le seul à recruter les enseignants, pour se concentrer sur ce qui n’est contenu qu’à l’état de menaces, privatisation et augmentation des frais de scolarité. Était-ce un thème peu mobilisateur ?
Sans compter que l’État vend les bijoux de famille (EDF) pour financer l’Université. Quelle politique aura l’État quand il n’y aura plus rien à vendre ?
Dialogue de sourds, où l’universelle bêtise, n’est-ce pas Lerma ?
Derniers commentaires
-
12/12 13:23 - Flambi
@ Sarra excuse-moi de te contredire mais se battre pour garder des acquis n’est en rien (...)
-
03/12 21:12 - armand
Je rêve ! Pauvre Nemo, victime du führerprinzip qui est décidément dans l’air ambiant. Où (...)
-
03/12 20:22 - Sarra
Bonjour Christophe, Je ne pense pas que, même si une majorité est favorable au blocage, elle (...)
-
03/12 19:51 - Fred62
Non, même une majorité favorable au ’blocage’ n’a pas le droit (...)
-
03/12 16:58 - olivier
Un peu d’indulgence, l’auteur n’a peut-être pas le français comme langue (...)
-
03/12 16:53 - Christophe
@Nemo, Il me semble que vos explications souffrent d’un simplisme évident. Si il suffit (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération