Citoyens de France,
Que ressentiriez-vous si :
Vous deviez contracter une assurance médicale privée onéreuse pour être sûr de bénéficier de soins médicaux ?
Chaque hôpital refusait tout soins médicaux à ceux qui n’ont pas d’assurance médicale privée ?
Il n’y avait pas le filet de la sécurité sociale, pas d’assurance chômage pour vous-même, votre famille et vos enfants ?
Vous deviez travailler 40 à 60 heures par semaine avec une seule semaine de vacances par an - et cela seulement après avoir travaillé pendant un an ou deux ?
Vous deviez emprunter de l’argent chaque année juste pour nourrir votre famille et garder un toit au-dessus de vos têtes ?
Vous deviez emprunter 100 000 euros pour payer les études universitaires de votre enfant ?
Vous aviez une dette bancaire tellement énorme
que vous ne seriez jamais capable de la rembourser et ne pourriez
jamais cesser de travailler jusqu’à votre mort ?
Les universités étaient financées par des
entreprises et obligées d’enseigner seulement ce que ces entreprises
jugent important ?
Toute l’infrastructure de la France et les
richesses nationales étaient « privatisées » au bénéfice de quelques
élites opulentes qui vous disent ce que vous pouvez ou non faire dans
votre propre pays et vous font payer les ressources naturelles qui sont
actuellement le bien commun de tous ?
Si vous pouvez imaginer ce que serait la vie
dans de telles circonstances, alors vous savez à quoi ressemble la vie
aujourd’hui pour une majorité d’Américains. Les Américains pensent
qu’il est normal de travailler 50 heures par semaine avec seulement une
semaine de vacances par an. Il y a beaucoup d’histoires horribles sur
des Américains sans assurance refusés par les hôpitaux. Le système
d’éducation étasunien a abouti à un taux d’alphabétisme de 50 % et
seuls les riches peuvent accéder à l’université.
Les Américains croient qu’une telle vie - une vie basée sur la quantité d’argent que vous possédez - est le symbole de la liberté, parce qu’ils ont subi un lavage de cerveau qui leur fait croire que l’argent fait l’homme.
Voulez-vous la même chose pour la France ?