bonjour clacounet.
conscient de l’évolution technologique Bergeron secrétaire général de FO a défendu la cotisation machine dans les années 70, le pouvoir et le patronat lui ont répondu que cela freineraient les investissements, devançant ainsi une inéluctable déséquilibre. il ne fut même pas suivit par ses adhérents qui n’en voyaient pas l’utilité.
une autre idée fabuleuse qu’il a émise était le salaire binome, un salaire composé du revenu nécessaire au minimum vital complété par le revenu de l’emploi ou du métier. cela aurait évité l’écrasement des grilles hiérarchiques où dans certaine l’on trouve des OQ 3e échelon payé au smic.
ton article soulève le faut argument qui cache la finalité régressive devant conduire aux assurances privées. car au terme de l’accord sur organisationgénérale du commerce et des services cela doit rentrer dans le domaine marchand.
aujourd’hui aucun investisseur n’apporte de ressources dans ce système puisqu’il est à but non lucratif, et l’état n’a aucun intérêt à le soutenir puisqu’il souhaite le privatiser, c’est le même processus qui est en marche pour la sécurité sociale.
dans le système privé en plus de s’assurer pour soi l’on nourri les actionnaires à auteur de leur voracité de rentabilité financière. C’est autre chose, et quand l’on sait que le budget de la sécurité sociale est à hauteur de celui de l’état sans rapporter des dividendes il y en a que cela laisse songeur.
mais ce qui m’a interpelé dans ton article c’est la référence aux Kilocalories.
effectivement ce serai le mode le plus égalitaire puisque réglé par la biologie humaine.
en 1999 j’ai écrit sur ce sujet en parlant du travail.
"Ainsi,
en regardant un bilan nous pourrions transformer tous les contenus de ses
comptes de classes, en temps de travail, puis le temps de travail en énergie
(calorie, conventionnellement une calorie égale 4,185 joules), et fixer une
valeur monétaire universelle du joule".
cordialement.