« 2- Ne confondez-vous pas à votre tour le masque et le visage, l’acteur et le personnage ? Comment pouvez-vous soutenir qu’une déclaration dictée par la conviction et une déclaration feinte, dictée par une autorité, sont deux »faits« identiques ? Vous vous exposez aux pires déconvenues, celle du poisson qui, ne reconnaissant pas le leurre qu’il prend pour un »vrai ver de terre« , mord et se fait embrocher par l’hameçon du pêcheur ! »
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Parce que cette déclaration, qu’elle soit dictée ou non, a eu lieu, et qu’il soit ou non sur un hameçon, un ver de terre est dans l’eau devant le poisson.
De plus, dans un débat qui vise à faire le distingo entre fait, sens du fait, et réalité, vous devriez éviter les métaphores qui par définition sont des variantes d’exemples comparatifs jamais totalement en adéquation avec l’objet premier.
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« 1- Qu’est-ce qui prouve que vous êtes allé aux toilettes ? Vous pouvez très bien le soutenir pour faire diversion. Nul après tout ne peut vérifier ce que vous avez »fait« . »La relation d’information" est souvent un tissu de leurres !
2- Vous choisisez ensuite « aller pisser » et non « aller au toilettes » : vous choisissez de donner au « fait » d’uriner une représentation familière, voire vulgaire, pour des raisons variées qui vous sont « propres », comme celle de rabaisser le débat et éventuellement tenter de ridiculiser ce qui heurte votre « bon sens », faute de répondre aux trois arguments que j’ai avancés dans mon article."
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Comme signalé dans mon commentaire, l’emploi de cet exemple pourrait être de l’ironie, ou de l’exhibitionnisme comme on en voit sur tant de blog, ce qui ne changerait rien au fait, là encore, vous êtes dans le sens, pas dans le fait, je n’ai donc pas de raison d’aller sur vos autres remarques, elles suivent la première confusion. Par ailleurs, je n’ai pas uriner dans des w.c.
Quand à la preuve, vous savez, j’urine tout les jours.