Brieli, là n’est pas du tout le sujet. Le préfet Erignac ou un autre, c’est malheureux à dire pour sa famille, mais c’est un représentant de l’état français qui a été lâchement abattu, point-barre. Si l’on commence comme ça, on finit en guerre civile. L’autorité de l’Etat, à un stade, n’a pas a être remis en cause de la sorte. La démoctratie permet d’autres voies, ne pas les utiliser est donc anti-démocratique. RE POINT-BARRE. Les symboles de l’état sont ce qu’ils sont, mais ils ne sont pas à être attaqués comme on attaque une Banque. C’est du grand banditisme sinon, qui n’a rien à voir avec une lutte militante. C’est bien d’ailleurs ce qui divise aujourd’hui les militants, au sortir même du palais de jusice. Essayons d’en rester là, car le débat, je le répète ne porte pas sur la Corse, mais sur un individu condamné très lourdement par un état sans que cet état aît réussi à démontrer sa culpabilité par des preuves formelles. On peut parler de tout, de pressions, qui ont bel et bien eut lieu, mais en l’occurence c’est à l’état de démontrer la culpabilité, rien d’autre. C’est aussi ça la république. Or là, visiblement, il y a une faille. Une sérieuse.