Tout dépend de la manière dont on utilise un outils mathématique ou informatique et de ce que l’on en fait.
Votre premier paragraphe est un cliché qui n’est pas applicable à tous les musiciens.
Ce n’est pas parce que certains tombent dans la facilité et cachent leur nullité derrière de la haute technologie que c’est le cas de tous. Et ce n’est pas parce que certains musiciens font du tout électronique qu’ils sont nuls.
Certains groupes utilisent l’electronique comme n’importe quel instrument et non pas pour remplacer des instruments qu’ils n’arrivent pas à maitriser. Pour décupler, sublimer un instrument classique dont on avait pas encore réussi à tirer la quintescence. Pink Floyd y excelle sublimement.
Ce n’est pas parce que des étudiants hallucinés par la découverte de leurs nouvelles connaissances mathématiques révélées en universités ou au lycée se gargarisent de leurs équations, qu’il faut se baser sur ces gamins pour diaboliser la complexité, l’intelligence scientifique. Il n’y a pas deux étudiants qui ont appris la gravitation de la même manière, pourtant ils sont tous persuadés avoir chacun la bonne et unique manière de calculer les lois de Newton.
Ce n’est pas parce que la plupart des informaticiens, noyés dans des détails qu’ils complexifient à plaisir, pondent des logiciels usines à gaz inutilisables que l’informatique est à jeter à la poubelle. Les logiciels simples et efficaces, cela existe, il faut chercher un peu, ce ne sont pas les plus chers ni les plus connus.