Merci de citer exactement, c’est préférable en effet.
Puisque j’interprète, à l’envers, dois-je déduire que vous dîtes la vérité ? Ou bien est-ce aussi une interprétation mais « dans le bon sens » ?
Pouvez-vous s’il vous plait me donner la source qui vous permet de dire que le « consulter » de cet article signifie : « concertation afin d’éviter que le droit régissant le marché, etc ». Idem au sujet de cet « abus ». Si je ne m’abuse, puisqu’on prévoit des abus possibles, de facto on a en tête la nature de ce que l’on définit « troubles intérieurs graves affectant l’ordre public ». Ou puis-je prendre connaissance de cette définition exacte ? Je tiens à vous faire remarquer que si la chose était aussi clairement définie que vous l’interprétez ici, je n’en aurais pas même parlé. Il faut incriminer les rédacteurs. Lesquels sont de joyeux pince-sans-rire si j’en crois mr d’Estaing, que je lis pour ma part avec plaisir, et que je vous conseille, come à quiconque, vivement. Car il semble que la rédaction de la nouvelle moûture soit plus obscure que précédemment, et mieux obscurcie à dessein, signifie-t’-il ingénûment, et ceci afin de la rendre plus hermétique encore, destinée ux seuls initiés. Et pourquoi donc, d’ailleurs ? Ah, mais j’y suis, afin qu’elle soit plus compréhensible encore, ça tombe sous « le bon sens ». Je suis sot peut-être mais je suis très étonné que l’échec de feu le tce procède d’une mésinterprétation et que plutôt que remédier à ce malentendu, on ait au contraire rendu la chose encore plus illisible. D’autant plus étonné que ce n’était au fond pas même la peine de se livrer à cet obscurcissement délibéré puisque l’on n’a pas même en théorie à y jeter un oeil, étant censé ne pas avoir à se prononcer, nos représentants avisant, judicieusement, à leur habitude, pour le bien du pays, la marche irrésistible de la nation, comme nous le savons bien et comme la réalité quotidienne nous l’enseigne.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-971616@45-1,0.html
J’ai également une question, toute théorique ma foi. Imaginons un instant qu’un Etat érige en principes constitutionnels des choses ou des concepts tels que « la concurrence est libre et non faussée », « l’économie de marché est la seule tolérable ». Donc, est-ce qu’il est possible et de la façon la plus légale possible, le cas échéant, de déclarer comme illégal, criminel, révolutionnaire, tout parti ou organisation politique qui ne reconnaîtrait pas ces principes et de facto, dans sa nature-même, appelerait au renversement de l’Etat. Du reste, puisque les financements des partis sont publics, pareil Etat financerait-il des partis appelant à sa perte ? De même, les modalités de réforme constitutionnelle étant ce qu’elle sont - j’imagine par exemple que dans ce système tous les Etas membres doivent vouloir à l’unanimité pareille chose, n’y aurait-il pas très peu de chances, voire impossibilité à ce que la Constitution de cet Etat soit modifiée dans un certain sens qui ne serait pas le bon ? Bon, il est possible que je me livre à une interprétation sommaire et à l’envers de ce cas tout théorique, pour ne pas dire fantasmatique.
18/02 02:19 - Philal
01/02 17:35 - GG
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01/02 17:31 - GG
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26/01 09:13 - lib
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26/01 09:06 - lib
Plein de confusion je réédite mon post, trop difficile à lire. Merci pour votre patience. (...)
25/01 19:29 - lib
Pardon pour la forme du commentaire, mais j’ai raté ma mise en forme à l’envoi. Je (...)
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