Le taux d’échec des étudiants étrangers est dû à plusieurs facteurs.
- certaines formations en manque d’étudiants (surtout en sciences) ne sont pas très scrupuleuses sur la qualité des dossiers de candidatures. Le niveau général est pourtant d’une affligeante médiocrité. Quant aux faux diplômes, ils ne sont pas rares...
- une fraction importante des candidats souhaitant s’installer en France le font par la voie d’une inscription dans une université française. Des candidats de plus de 30 ans postulent pour s’inscrire dans une licence...D’autres viennent aussi pour se faire soigner.
Une fois en France, la majorité n’envisage nullement de retourner dans leur pays, qu’ils aient obtenu ou non leur diplôme. Une fois qu’ils ont pris goût aux aides diverses, il est bien difficile d’y renoncer. Certains s’inscrivent plusieurs fois pour tenter d’obtenir un diplôme qu’ils n’auront jamais ou alors à l’usure !
- beaucoup de ces étudiants ont en arrivant des problèmes financiers, de logements ou autres. En général, leur première année en France est un échec.
Il faudrait donc que la France ait une politique globale et ne laisse plus chaque université gérer une situation difficile pour tout le monde.
Moins d’étudiants étrangers donc, mieux sélectionnés, et éventuellement des bourses attribuées sur des critères objectifs pour les meilleurs. Et surtout qu’ils soient contraints, pour la plupart, de rentrer dans leur pays qui a besoin d’eux.