Saluton, jen nia belgano.
Ce qui est interressant est de comprendre que le multilinguisme non appliqué en pratique en belgique, suisse ou dans l’ensemble de l’union, provoque une catastrophe dans tous les cas. quand je dis non appliquer c’est l’application des textes mais aussi dans le coté pratique, car n’oublions pas que dans la pratique le nombre de vrais bilingues est rare et le temps pour y parvenir est extremement long.
Quand on va vers une forme inverse mettre à tout le monde une seule langue obligatoire donc l’unilinguisme, comme pour le Francais ou sous un certains angle l’anglais, un effet de séparation se profille et les moyens pour y parvenir peuvent être violant, corse, basque, certains pays anglais, anciennes colonies pour retrouver une autonomie perdue ( cf très bien expliqué par LECHERBONNIER)
Que nous reste t’il alors ? Une forme d’unilinguisme non imposée.
Soit choisi par defaitisme général, ce qui se passe en Europe actuellement pour le vecteur anglais, mais risquant à plus ou moins long terme malgré l’acceptation géneral de provoquer un effet de cocotte minute de maniere inconsciente explosif ( voir lexplication aussi de LECHERBONNIER sur l’eefet d’une langue unique et de la capacité de creer), historiquement on y retrouve les ex pays russes, ou de l’europe de l’est.
Soit un unilinguisme choisi tout en conservant la langue des ancetres. Donc l’application du bilinguisme, mais comme ce dernier vu plus haut est difficille en pratique. On risque de se retrouver avec encore une catastrophe sur les bras.
Donc on peut se dire que ce problème est insolluble, donc dans tous les cas l’EUrope ne pourrat jamais se construire et rivaliser avec les autres grandes puissances ayant quand à elles une langue commune, cette langue commune mise en place depuis un certains nombre de siecle et le notre étant rapide voir très rapide le temps de mettre la langue commune est impossible, donc dans tous les cas le probleme perssiste toujours.
Mais il existe la solution esperanto qui justement permet par son apprentissage rapide de provoquer enfin ce bilinguisme, et même bien audela du bilinguisme celui du bilinguisme operationnel permettant enfin la rivalité face aux grandes puissances et la capacité d’implanter un nouveau concept de communication mondiale permettant à l’europe de se retrouver à égalité des chances avec les anglos saxons sur les brevets par exemple vecteur d’une meilleur economie europeenne, sans compter tous les contrats realisable par ce moyens, ainsi que touristique litteraire ou cinématographique. mais en plus e bilinguisme operationel permet aussi la creation d’un renouveau d’un multilinguisme de culture, permettant justement un renouveau du rayonnement du vieux continent.
Rappelons qu’au depart l’esperanto pas prevus pour cet objectif qui était en fait de permettre de faciliter la communication par un moyen plus rapide qu’une langue nationale à ceux qui le voulaient sans recherche d’une mondialisation de l’esperanto qui est un objectif totalement réalisé. Maintenant les europeéns peuvent trouver en l’esperanto un moyen pragmatique sur le probleme linguistique europeen qui affaiblie nos capacités et ressources pour rivaliser dans ce monde mondialisé.