Le seul qui ait « beuglé » jusqu’à présent, et qui continue de beugler, c’est celui que la seule vue du mot « espéranto » rend barjaud et hystérique. Ça nous éclaire sur sa prétendue « formation scientifique » et sa « maîtrise de science »...
Ignorer la « raison d’État », nier les persécutions dont l’espéranto a fait l’objet en plus de 120 ans d’histoire sous divers régimes, aussi bien « démocratiques » que totalitaires, ce n’est rien d’autre qu’une forme de négationnisme qui n’a rien d’étonnant de la part d’un individu aussi répugnant. Les personnes qui veulent se permettre une « réflexion personnelle » ont un ouvrage de 546 pages solidement référencé à leur disposition en plusieurs langues (malheureusement pas encore en français) http://www.esperanto-sat.info/article451.html.
Oh, certes, les méthodes d’aujourd’hui sont différentes. La science est passée par là. Dans “Décervelage à l’américaine”, Herbert I. Schiller, qui fut professeur de communication à l’université de Californie, à San Diego, a décrit les procédés utilisés pour mener un peuple par le bout du nez. Il y a un véritable détournement de la science pour étudier les comportements et les conformer aux exigences d’un pouvoir qui ne connaît qu’un seul dieu : l’Argent. http://www.monde-diplomatique.fr/1999/08/SCHILLER/12381
Souvenons-nous aussi de ce qu’à pu constater le professeur Robert Phillipson, un ancien du British Council : « L’anglais pour transformer l’univers des étudiants » : http://www.esperanto-sat.info/article608.html sans compter « Linguistic Imperialism » (Oxford University Presse,1992).
Et de ce qu’avait prévu Aldous Huxley en 1931 : « A une époque de technologie avancée, le plus grand danger pour les idées, la culture et l’esprit risque davantage de venir d’un ennemi au visage souriant que d’un adversaire inspirant la terreur et la haine. »