Concernant la « Ségomania » de la première partie de la campagne présidentielle, plus ça va, plus je me demande si celle-ci n’a pas été, si ce n’est orchestrée, disons montée en mayonnaise par les médias à la « botte » de Sarkozy et de l’UMP.
En sommes, qu’il ait « choisit » son adversaire.
Ségolène Royale a certes fait de le populisme, mais elle s’y est prise comme un pied en cela que son image n’était pas « clair ». Son programme étant trop « large » pour arriver à rabibocher toutes les composantes de la gauche.
En sommes, une ébauche de populisme trop complexe pour être efficace.
En face, l’UMP a opposé une « machine de guerre » ou tout le monde pense et agit comme le « chef », pas d’avis divergent. La pensée unique en action au seul service de la victoire. Une capacité a mentir, a déformer les chiffres, marteler des contre-vérités avec un culot sans borne.
Bien aidé, il faut bien le dire par l’apathie complice des médias (en particulier télévisuels - la bise de chabot, les coupes de champ’ sur le plateau de TF1 le soir de l’élection en sont des épiphénomènes révélateurs)...
Bref, la gauche a encore du « progrès » a faire dans ce domaine...
L’avenir de la politique est bien sombre.