Vous continuez d’identifier la politique à un jeu. Soit.
Si je vous comprends bien, plus un parti politique, à travers ses membres, a de mandats éléctorales, et plus
il est influent et donc disposé à gagner des éléctions à venir. Comment expliquez-vous alors l’alternance fréquente entre
gauche et droite ?
Et puis quand bien même cette affirmation serait plus ou moins vérifiée, qu’est-ce que cela change contrètement que
l’ensemble des mandats détenus pas un parti le soit par X personnes ou Y personnes, Y étant inférieur à X ? Dans les 2
cas l’influence n’est-elle pas la même à l’échelle de la formation politique ?
Si les choses vont mal et qu’une opposition dans son ensemble se montre agressive et pertinente (niveau local et autre) alors
être au manettes conduit plutôt à ne pas être réélu, qu’on soit responsable ou pas de la situation d’ailleurs, et qu’on ai
un ou plusieurs mandats...
En fait il serait plus exact de dire que détenir un mandat lorsqu’on se présente à une élection à un échelon inférieur,
est un atout. Si untel est ministre et se présente à une municipale, aux yeux des électeurs de la commune ce candidat est
plus sexy. Ainsi je vois le cumul de mandats plutôt comme un effet que comme une cause (de vicoire).
Finalement, les mêmes qui se plaignent quasi unanimement de cette pratique, c’est-à-dire les français, en sont les uniques
responsables.
On a les politiciens qu’on mérite.
Vous n’avez pas tort pour le « débile ».