@ Mr Bernard Dugué :
Très sincèrement , meilleurs voeux pour 2008 et .....longue
vie , ainsi qu’à toute l’équipe d’AGORAVOX !
Peu de temps pour consulter Agoravox , mais je fais l’effort de lire tous vos articles , comme ceux de Morice ,
Philippe Vassé , Pierre JC Allard , Dominique Larchey-Wendling , mini-jack , Argo , Paul Villach , Pierre R , Léon , Forest Ent , Okam AB , etc.....de mémoire....,
la liste est longue , et j’en profite pour les saluer avec
tous mes voeux d’avenir heureux .
Si , si ! J’y crois . Le futur a de l’avenir.....peut-être.
Inch’Allah ! M’enfin , Mme Soleil n’est plus parmi nous et
Elisabeth Teissier ne déchiffre pas encore le « MEKTOUB » .
Eh oui , selon le fumeux chuintant de Chamalières :
« Gouverner c’est gérer l’imprévisible ».
Mr Dugué , ne prenez pas mon humour ( j’essaye...) pour des
attaques personnelles . Au contraire . J’ai beaucoup
apprécié le texte de votre visite à Nice , émouvant et sobre .
Je respecte vos connaissances et compétences , mais vos
textes manquent souvent de fluidité , de clarté et même
quelquefois de « consistance »... . C’est un encouragement
à améliorer l’efficacité de votre communication pour nous ,
simples lecteurs qui n’avons pas toujours votre érudition .
Je ne voudrais pas « parasiter » votre article et je vais y
revenir , franchement , crûment , sans complexes mais avec
politesse , avec un langage d’adultes sans vulgarité , ni
obscénité car vous avez abordé un sujet « sensible » et vital pour notre vie quotidienne . Sujet qui déclenche les
passions .
Il est regrettable que beaucoup de commentateurs LISENT TROP VITE , SUPERFICIELLEMENT et réagissent au 1/4 de tour
SANS PRENDRE LE TEMPS de la réflexion .
Petit clin d’oeil : Par votre formation , j’imagine que vous n’avez pas lu KAFKA au 99 Cours Fauriel ; oui , c’est
celà , l’immeuble qui fait l’angle en face de la polyclinique Beaulieu .
J’ai eu quelques uns de vos condisciples commes élèves et
nous avons certainement fréquenté les mêmes cafés........ .
La suite en 2ème partie : Le COEUR DE VOTRE ARTICLE , dès
mon retour après une courte abscence . Très cordialement .