Décidément, ce crapulox est indécrottable, sur chaque article, il trouve à parler de Sarko et de Bruni.
Pour le reste, vous vous laissez envahir par votre haine viscérale des avocats et, j’en ai peur, vous vous aveuglez.
Non, personne n’a dit que les notaires étaient incapables de se charger des consentements mutuels, il n’y a guère qu’un premier clerc à la retraite pour se jeter de cette manière sur ce sujet et aller écorner la profession d’avocat sans plus d’arguments que "regardez ces nantis".
En revanche, je vous dis, moi, mon cher crapulox, qu’il vous faut bien peu de connaissance des procédures de divorce pour résumer le consentement mutuel comme vous le faites. Votre joli discours sur « la faculté de consentement » est tout bonnement sidérant et démontre que vous ne connaissez rien aux divorces.
Par ailleurs, puis-je vous rappeler que le consentement est requis dans tout « contrat » et qu’à vous suivre sur ce terrain, il n’y aurait plus de place, dans notre droit, pour la protection des parties contractantes ?
Il faudrait, là encore, un notaire pour dire à l’acheteur d’un bien non conforme : « votre consentement existait lors de la vente tant pis pour vous, au revoir, et au suivant ! »
Franchement, écrire « Si vous avez besoin d’un juge pour exercer votre consentement, c’est que vous êtes un incapable » est indigne de vous et de la culture juridique dont vous vous réclamez.
Je vous ai connu plus à cheval sur les principes de notre droit, et tout récemment encore, et je m’étonne donc de votre vision aussi angélique (quoique vraisemblablement partisane) du consentement mutuel.
Au surplus, vous avez une bien haute opinion des notaires pour vouloir leur confier la charge (et les revenus correspondants, entendons-nous) de mettre les époux d’accord sur le divorce et ses conséquences (enfants, droit de visite, résidence, prestation compensatoire, liquidation de communauté, j’en passe...) puis d’être le propre juge de la pertinence de ces décisions…
Sur le reste, que l’on confie au Notaire, au pharmacien ou à l’épicier le soin d’homologuer une convention, je m’en fous royalement, du moment que cela permet à la dite convention d’être préparée et corrigée par deux personnes distinctes.