merci jason pour votre post, auquel j’adhère.
je me reconnais aussi dans ceux de forest ent.
"L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête." écrivait Pascal
mr bilger, en feignant de croire que l’ humanisme de Badinter ne s’adresse qu’aux bourreaux, fait la bête et nous prend pour des brêles... et je doute que mr badinter se prenne pour un saint.
il est vrai qu’un homme qui reste dangereux pour la société, même après avoir purgé sa paine, pose un problème de réinsertion après sa libération. mais, doit-on pour cela bafouer les droits de l’homme ? comme vous l’avez souligné, cela pose des problèmes d’éthique et de conscience, dont ne semble guère s’embarraser l’auteur.
où se situe la frontière entre la protection des autres et la détention arbitraire ???
pourquoi ne pas traiter ces êtres dangereux durant leur incarcération, avec un vrai suivi médical et psychiatrique ? et des évaluations régulières pour savoir comment évolue le détenu. pourquoi ne pas prévoir dès le départ, un protocole conditionnant la remise en liberté des plus dangereux d’entre eux ???
on ne peut, au milieu du chemin modifier les règles du jeu, sinon, c’est la porte ouverte à tous les abus, dont la dictature n’est pas le moindre.
cet article de mr bilger me laisse pensive...