Vous permettez une petite ouverture de perspective ?
Il existe un petit pays tres ’anglo-saxon’ comme diraient nos docteurs d’opinion scleroses et nationaux, ce pays c’est la Suisse.
L’assurance chomage n’y existe pas ou peut etre prise a titre individuel et facultatif.
L’assurance perte de gain suite a maladie, l’assurance accident sont obligatoire, geree par un organisme publique mais peuvent etre modulees sur la part salariale en fonction de la duree de franchise negociee avec le salarie : responsabilisation. Vous imaginez la meme chose en France ? Nos syndicats prehistoriques hurleraient a l’abus de situation par les employeurs (qui sont intrinsequement des exploiteurs, il faut le rappeler).
Rappelons que le statut de fonctionnaire n’existe pas en Suisse, consequence : le publique y coutent bien moins qu’en France pour fonctionner.
Consequence de la consequence : la CSG n’existe pas -> pouvoir d’achat en plus.
Donc pour resumer : a meme salaire net, employer coute moins cher en Suisse pour le point de vue de l’employeur.
Rajoutez une relative facilite d’embaucher aussi bien que de licencier.
Rajoutez une fiscalite des benefices bien moins punitive, quelques menus avantages et facilites au dirigeant (voiture de fonction, defraiement forfaitaires, etc....) et vous aurez compris pourquoi la Suisse a l’approche economique a-ideologique est si dynamique et pourquoi tant de Francais createurs d’entreprises et d’emplois y expatrient leur realisation (j’en fait partie).
Pour conclure : avec 2,5% de chomage, la securite de l’emploi existe de fait. On peut supposer qu’a la fin de leur fin d’activite commercante, Iris et/ou sa femme auraient trouve un emploi rapidement, pas en France.
Bon courage tout de meme a eux, si je peux me permettre une suggestion : vu votre implication et souplesse d’esprit : envisagez de vous reconvertir dans les energies renouvelables : comme commercial ou installateur (mais la, ca demande des fonds pour se former)