Commentaire de Cascabel
sur La disparition de l'Art contemporain
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Ce qui m’a plu dans votre article Morris, en dehors de son contenu détaillé, c’est qu’il saisit très bien une certaine Amérique, celle des pionniers aventureux. On voit bien que derrière cette course à la vitesse se profile l’âme d’un peuple, enthousiaste, courageux et optimiste. Ces grosses mécaniques ne sont pas le fruit de bureaux d’étude appartenant à de grosses compagnies. Ce sont des rêves d’hommes, avec tout l’irrationnel que cela comporte ; ces engins ont une âme, comme les vaisseaux d’autrefois. Une Ferrari, ou une formule un, produits de l’industrie, peuvent atteindre de grandes performances, mais ne nous font pas rêver de la même manière car on ne saurait les attacher à une histoire humaine et singulière.
Derniers commentaires
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19/01 17:34 - morice
Ah Emile je vous remercie de si bien suivre et de me le faire remarquer avec autant (...)
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19/01 17:27 - Emile Red
Strange, je suis un peu en retard mais la Mustang citée renvoie sur une photo de Chevrolet (...)
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15/01 15:58 - morice
Ah bravo Maxim, ça c’est du vécu comme j’aime bien.. on parle de mecs qui ont (...)
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15/01 15:47 - La Taverne des Poètes
Ah Morice, t’es trop fort pour moi ! Comment fais-tu pour produire autant (...)
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15/01 14:43 - maxim
ma création d’art contemporain et tentative de rcord,c’était dans les année 50 à la (...)
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15/01 13:58 - ZEN
@ Maxim Ah ! La fièvre acheteuse ! Je me contente maintenant de deux vélos. Je (...)
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